Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, mais je vous ai choisis et je vous ai donnĂ© mission Jean 15.16 (Bible des Peuples) Jean 15.16 (Bible des Peuples) Logo Maissi Lotto estimait que Ewan avait une bonne carte Ă  jouer, ce n'est pas le cas du sĂ©lectionneur australien, Rory Sutherland, qui lui a prĂ©fĂ©rĂ© Michael Matthews. Une grande dĂ©ception sans doute pour le sprinteur qui connaĂźt une saison catastrophique. Le petit australien n'a en effet rapportĂ© que 406 points Ă  l'Ă©quipe Lotto cette annĂ©e. Mais il n'aura pas l'occasion Leparticipe passĂ©, suivi d'un infinitif, ne s'accorde pas avec le COD qui prĂ©cĂšde lorsque ce COD ne fait pas l'action exprimĂ©e par l'infinitif, mais la subit." Dans l’exemple que vous donnez maintenant. “La ville que vous avez choisie”. On est d’accord, ici c’est Ă©vident. “La ville que vous avez choisi (e) d'habiter.”. Cen’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis et Ă©tablis afin que vous alliez, que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure. Alors, tout ce que vous demanderez au PĂšre en mon nom, il vous le donnera. Voici ce que je vous commande : c’est de vous aimer les uns les autres. MĂ©ditation PĂšre Bernard Devert Ce n'est pas vous qui m'avez choisi, c'est moi qui vous ai choisis". Quels sont les critĂšres du choix de Dieu sur nous? Avec pĂšre Thibault ASSIER de la communautĂ© des frĂšres de saint Jean. Related Videos. 2:19. Quelles sont les "choses" dont JĂ©sus parle et que les disciples ne pouvaient pas encore porter ? FrĂšre Thibault ASSIER DE POMPIGNAN, prieur de la nEMdbyl. Jean 1516-17 LSGCe n’est pas vous qui m’avez choisi; mais moi, je vous ai choisis, et je vous ai Ă©tablis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure, afin que ce que vous demanderez au PĂšre en mon nom, il vous le donne. Ce que je vous commande, c’est de vous aimer les uns les La Sainte Bible par Louis Segond 1910PartagerLire le chapitre entier Jean 1516 S21Ce n'est pas vous qui m'avez choisi, mais c'est moi qui vous ai choisis, et je vous ai Ă©tablis afin que vous alliez, que vous portiez du fruit et que votre fruit demeure. Alors, ce que vous demanderez au PĂšre en mon nom, il vous le de lecture et de mĂ©ditation gratuits en rapport avec Jean 1516Vous encourager de passer chaque jour de temps dans la prĂ©sence de Dieu. En ce temps-lĂ , JĂ©sus disait Ă  ses disciples Comme le PĂšre m’a aimĂ©, moi aussi je vous ai aimĂ©s. Demeurez dans mon amour. Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, comme moi, j’ai gardĂ© les commandements de mon PĂšre, et je demeure dans son amour. Je vous ai dit cela pour que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite. Mon commandement, le voici Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimĂ©s. Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime. Vous ĂȘtes mes amis si vous faites ce que je vous commande. Je ne vous appelle plus serviteurs, car le serviteur ne sait pas ce que fait son maĂźtre ; je vous appelle mes amis, car tout ce que j’ai entendu de mon PĂšre, je vous l’ai fait connaĂźtre. Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis et Ă©tablis afin que vous alliez, que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure. Alors, tout ce que vous demanderez au PĂšre en mon nom, il vous le donnera. Voici ce que je vous commande c’est de vous aimer les uns les autres. » Qu’est-ce qui fait agir l’homme ? Qu’est-ce qui le pousse Ă  travailler, Ă  se fatiguer, Ă  chercher, Ă  prĂ©voir ? Quelle force le meut de jour en jour, d’annĂ©e en annĂ©e, tout au long d’une vie qui passe si vite ?Balzac disait c’est l’intĂ©rĂȘt. Les affiches crient c’est le plaisir ; et les journaux rĂ©pĂštent c’est la soif du pouvoir. JĂ©sus, lui, parlait au futur, et il disait ce sera l’amour. Et c’est d’amour qu’il a parlĂ© Ă  ses disciples, longuement, dans son discours d’adieux, lors de son dernier repas, alors que s’agitaient contre lui, dans JĂ©rusalem nocturne, Judas et ceux qui le payaient, justement les forces de l’intĂ©rĂȘt et du pouvoir. Et dans la bouche de JĂ©sus, le verbe aimer, ce mot usĂ©, faussĂ©, sali, redevient grand, et porteur d’espĂ©rance."Demeurez dans mon amour", dit JĂ©sus aux disciples. Entendons ; demeurez dans l’amour que j’ai pour vous. Et effectivement, pour cette poignĂ©e d’hommes qui ont tout quittĂ© et qui l’ont suivi, c’est la seule chose qui puisse donner sens Ă  leur vie demeurer dans l’amitiĂ© de JĂ©sus de Nazareth, le seul qui ait les paroles et les rĂ©alitĂ©s de la vie ils savent ce que cela veut dire, comme nous le savons nous-mĂȘmes l’amour que JĂ©sus a pour nous est toujours Ă  la fois une initiative et un appel. Une initiative, car JĂ©sus n’attend pas, pour nous aimer, que nous puissions ĂȘtre fiers de nous ; un appel, puisque son amour prend tout l’homme et tout dans l’homme l’intelligence, l’affectivitĂ©, le goĂ»t d’agir et la soif de beautĂ©. Tout cela, l’amour de JĂ©sus veut le mettre Ă  son service. C’est pourquoi JĂ©sus ajoute "Si vous ĂȘtes fidĂšles Ă  mes commandements, vous demeurerez dans mon amour".C’est dire que cette amitiĂ© entre JĂ©sus, Fils de Dieu, et nous, fils et filles de Dieu, ne se mesure pas au baromĂštre du sentiment, mais Ă  celui de la fidĂ©litĂ©. Rien de plus ordinaire, en un sens, que l’amour de JĂ©sus et notre rĂ©ponse Ă  cet amour, car ils se vivent dans le quotidien et en habits de tous les jours. JĂ©sus lui-mĂȘme n’a pas vĂ©cu autrement l’amour inouĂŻ qui le liait Ă  son PĂšre "Moi de mĂȘme j’ai gardĂ© les commandements de mon PĂšre, et je demeure dans son amour".Mais quelles sont les consignes de JĂ©sus, qui doivent dessiner ainsi l’horizon de notre libertĂ© et nous permettre de demeurer dans son amour ?JĂ©sus n’en a laissĂ© qu’une "Aimez-vous". Et de fait, tout est lĂ , car aimer, c’est faire vivre. Aimer, c’est vivre pour que l’autre vive, pour qu’il puisse se chercher, se trouver, se dire ; pour qu’il se sente le droit d’exister et le devoir de s’épanouir. Aimer, c’est faire exister l’autre, les autres, Ă  perte de vue, Ă  perte de vie, malgrĂ© nos limites et les handicaps de l’autre, malgrĂ© les frontiĂšres sociales et culturelles, malgrĂ© tous les tassements de l’existence, malgrĂ© les ombres de l’égoĂŻsme ou de l’agressivitĂ© qui passent jusque dans les foyers les plus unis et les communautĂ©s les plus fraternelles. Aimer, c’est repartir sans cesse, Ă  deux, Ă  dix, en communautĂ©, en Église, parce que l’amour du Christ ne nous laisse pas en repos, et parce que, aprĂšs tout, d’aprĂšs JĂ©sus lui-mĂȘme, il n’y a pas de plus grand amour, il n’y a pas d’autre limite Ă  l’amour que de donner sa vie, en une fois ou Ă  la nous voilĂ  perplexes et dĂ©munis devant un pareil renversement des valeurs. Nous sentons bien, pourtant, et nous savons d’expĂ©rience, que par-lĂ , sur ce "chemin de la charitĂ©", comme disait saint Paul, notre vie retrouve toujours un peu de sa lĂ©gĂšretĂ©, et notre cƓur un peu de son espace. C’est bien ce que JĂ©sus ajoute, sur le ton de la confidence "Je vous ai dit cela afin que ma joie soit en vous et que votre joie soit parfaite".Quand cette joie du Christ trouve un Ă©cho en nous, notre vie, comblĂ©e ou douloureuse, commence Ă  laisser un sillage. Parfois, il est vrai, la route de l’abnĂ©gation paraĂźt longue et nos efforts bien mal payĂ©s, par nos frĂšres ou nos sƓurs, par les enfants, ou par Dieu. Il est bon, Ă  ces heures-lĂ , d’écouter le Christ nous redire, comme aujourd’hui, pour remettre les choses au point et notre vie dans sa lumiĂšre "Ce n’est pas toi qui m’as choisi, ce n’est pas toi qui m’as fait un cadeau en acceptant la foi et mon appel, c’est moi qui t’ai choisi; et je t’ai placĂ©/e, lĂ  oĂč tu es, lĂ  oĂč tu sers, lĂ  oĂč tu souffres et lĂ  oĂč tu espĂšres, pour que tu ailles de l’avant, que tu portes du fruit, et que ton fruit demeure". ... Comme le PĂšre m’a aimĂ©, moi aussi je vous ai aimĂ©s. Demeurez dans mon amour, qui sauve. Si vous m’aimez, vous serez obĂ©issants, et l’obĂ©issance fait croĂźtre l’amour rĂ©ciproque. Ne dites pas que je me rĂ©pĂšte. Je connais votre faiblesse, et je veux que vous soyez sauvĂ©s. Je vous ai dit cela afin que la joie que j’ai voulu vous donner soit en vous et soit parfaite. Aimez-vous, aimez-vous ! C’est mon commandement nouveau. Aimez-vous les uns les autres plus que chacun de vous ne s’aime lui-mĂȘme. Il n’est pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis. Vous ĂȘtes mes amis et moi, je donne ma vie pour vous. Faites ce que je vous enseigne et commande. Je ne vous appelle plus serviteurs, car le serviteur ne sait pas ce que fait son maĂźtre, alors que vous, vous savez ce que je fais. Vous savez tout de moi. Je vous ai manifestĂ© non seulement moi-mĂȘme, mais aussi le PĂšre et le Paraclet, et tout ce que j’ai entendu de Dieu. Ce n’est pas vous qui vous ĂȘtes choisis. C’est moi qui vous ai choisis, et je vous ai Ă©lus afin que vous alliez parmi les peuples, que vous portiez du fruit en vous et dans le cƓur des personnes qui seront Ă©vangĂ©lisĂ©es, et que votre fruit demeure. Et tout ce que vous demanderez au PĂšre en mon nom, il vous le donnera ... Nous croyons au destin bon ou mauvais, qui est ce qu’AllĂąh Le TrĂšs-Haut a dĂ©crĂ©tĂ© pour l’ensemble des crĂ©atures et ce, suivant Sa prĂ©-science et comme consĂ©quence de Sa sagesse. Le destin est constituĂ© de quatre niveaux – La science al ilm Nous croyons qu’AllĂąh Le TrĂšs-Haut est omniscient qui sait tout. Il sait ce qui Ă©tait et ce qui sera, et comment ce sera, pour toujours et Ă  jamais, par Sa science Ă©ternelle. Il ne se peut pas qu’AllĂąh apprenne un savoir nouveau aprĂšs avoir Ă©tĂ© ignorant, ou qu’Il puisse oublier aprĂšs avoir eu science de quelque chose . – La prescription al kitĂąba Nous croyons aussi qu’AllĂąh Le TrĂšs-Haut a prescrit dans les tablettes protĂ©gĂ©es Al LĂ»h al MahfĂ»dh ce qu’il adviendra jusqu’au jour de la rĂ©surrection traduction rapprochĂ©e Ne sais tu pas qu’AllĂąh sait tout ce qu’il y a dans le ciel et la terre . Ceci est dans un livre , cela est certes bien facile pour AllĂąh » sourate Le pĂšlerinage verset 70 – La volontĂ© Al Mashü’a Nous croyons qu’AllĂąh exaltĂ© soit-Il, a voulu tout ce qui est dans les cieux et sur la terre, nulle chose ne peut exister sans Sa volontĂ©. Ce qu’AllĂąh veut se rĂ©alise et ce qu’Il ne veut pas ne se rĂ©alise pas . – La crĂ©ation al Khalq Nous croyons qu’AllĂąh Le TrĂšs-Haut est traduction rapprochĂ©e CrĂ©ateur de toute chose et Il est le Garant sur toute chose. Il dĂ©tient les clefs des cieux et de la terre, et ceux qui ont mĂ©cru aux versets d’Allah, ceux lĂ  sont les perdants. » sourate Les groupes verset 62 Ces quatre niveaux englobent tout ce que rĂ©alise AllĂąh Lui mĂȘme, et tout ce que rĂ©alisent Ses serviteurs comme paroles, actes ou dĂ©laissements, ces actions sont connues d’AllĂąh Le TrĂšs-Haut, dĂ©jĂ  inscrites auprĂšs de Lui, Il les a voulues et les a créés traduction rapprochĂ©e Pour celui d’entre vous qui veut suivre la droiture. Mais vous ne pouvez vouloir que si Allah veut, Lui le Seigneur des mondes » sourate L’obscurcissement verset 28 Si AllĂąh avait voulu, ils ne se seraient pas entre-tuĂ©s. Mais AllĂąh fait ce qu’Il veut » sourate La vache verset 253 Si AllĂąh avait voulu , ils ne l’auraient pas fait, laisse les donc avec ce qu’ils inventent » sourate Les bestiaux verset 137 Et c’est Allah qui vous a créés, vous et ce que vous faites » sourate Les rangĂ©s verset 96 Mais en mĂȘme temps , nous croyons qu’AllĂąh Le TrĂšs-Haut a mis au service de Ses serviteurs, un choix et une force de par lesquels se produisent leurs actes . Les preuves que le serviteur fait l’acte de son propre choix et par sa force sont La parole du TrĂšs-Haut traduction rapprochĂ©e Vos Ă©pouses sont pour vous un champ de labour , allez Ă  votre champ comme vous le voulez » sourate La vache verset 223 Et Sa parole traduction rapprochĂ©e Et s’ils avaient voulu partir , ils auraient fait des prĂ©paratifs » sourate Le repentir verset 46 AllĂąah nous informe donc que le serviteur fait les rapports sexuels de son propre vouloir , de mĂȘme qu’il se prĂ©pare pour le combat dans la voie d’AllĂąh par sa propre volontĂ©. Adresser l’ordre et l’interdiction au serviteur S’il ne possĂ©dait ni choix ni force, le diriger ainsi supposerait qu’on lui impose des choses qu’il ne pourrait pas mettre en pratique. Et ceci n’est pas conforme Ă  la sagesse d’AllĂąh Le TrĂšs-Haut, et par Sa misĂ©ricorde, et Il est le VĂ©ridique, dans Sa parole traduction rapprochĂ©e Allah n’impose Ă  une Ăąme que selon sa capacitĂ© » sourate La vache verset 286 FĂ©liciter le bienfaiteur pour ses actes de bienfaisance, blĂąmer le fautif pour sa faute et accorder la rĂ©tribution adĂ©quate Ă  chacun d’eux . Si l’acte ne provenait pas de la volontĂ© du serviteur et de son propre choix, accorder des fĂ©licitations au bienfaiteur serait une chose inutile, et punir le fautif serait une injustice. Et AllĂąh Le TrĂšs-Haut est bien au dessus de commetre des choses inutiles et des injustices. Qu’AllĂąh le TrĂšs-Haut a envoyĂ© des messagers traduction rapprochĂ©e Annonciateurs et avertisseurs, afin qu’aprĂšs la venue des messagers, il n’y ait pour les gens point d’argument devant AllĂąh » sourate Les femmes verset 165 Si l’acte du serviteur ne se rĂ©alisait pas grĂące Ă  sa volontĂ© et son propre choix, il resterait un argument devant AllĂąh, ce qui est contraire au verset sus citĂ©. Que toute personne qui fait un acte a le sentiment que le faire ou le dĂ©laisser ne lui cause aucune impression de contrainte. Il se met debout, s’asseoit, rentre, sort, voyage et rĂ©side, tout ceci avec sa pleine volontĂ©. Il ne sent Ă  aucun moment que quelqu’un l’oblige Ă  faire cela, au contraire, il fait une nette distinction entre faire une chose de son plein grĂ© et la faire sous la contrainte d’une autre personne. Aussi faut il signaler que la loi islamique fait une sage distinction entre les deux. Elle ne s’en prend pas Ă  celui qui fait un acte sous contrainte, concernant le droit d’AllĂąh Le TrĂšs-Haut sur Ses serviteurs renier l’existence d’AllĂąh sous la contrainte, par exemple. Et nous voyons que le pĂ©cheur ne peut prĂ©texter le destin d’AllĂąh pour le pĂ©chĂ© qu’il commet, car il accomplit le pĂ©chĂ© de son propre choix, sans qu’il sache qu’AllĂąh le TrĂšs Haut l’a dĂ©crĂ©tĂ© pour lui, puisque personne ne connaĂźt le destin qu’aprĂšs le dĂ©roulement de ce qu’Il a prescrit traduction rapprochĂ©e Et aucune Ăąme ne sait ce qu’elle acquerra demain » sourate LuqmĂąn verset 34 Alors comment la personne argue t-elle d’une chose au moment oĂč elle la fait, et l’invoque comme excuse alors qu’elle ne s’est pas encore produite ? . Et AllĂąh dĂ©truit encore l’argument de celui qui se rĂ©fugie derriĂšre la contrainte du destin par Sa parole traduction rapprochĂ©e Ceux qui ont associĂ© diront Si AllĂąh avait voulu, nous ne Lui aurions pas donnĂ© d’associĂ©s, nos ancĂȘtres non plus et nous n’aurions rien dĂ©clarĂ© interdit. Ainsi leurs prĂ©dĂ©cesseurs traitaient ils de menteurs les messagers jusqu’à ce qu’ils eurent goĂ»ter Notre rigueur, Dis Avez vous quelque science Ă  nous produire ? Vous ne suivez que la conjecture et vous ne faites que mentir » sourate Les Bestiaux verset 148 Nous disons au pĂ©cheur qui se cache derriĂšre le destin Pourquoi n’accomplit il pas la bonne action en supossant qu’AllĂąh l’a dĂ©crĂ©tĂ©e en sa faveur ? Car il n’y a aucune diffĂ©rence entre ceci et le pĂ©chĂ© dans l’ignorance de ce qui est prescrit avant l’accomplissement de son acte . Ainsi, le prophĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… informa les compagnons qu’à chaque personne lui est Ă©crit sa place au paradis, ou bien en enfer . Ils dirent Est ce que nous nous en remettons Ă  ceci et nous dĂ©laissons les bonnes oeuvres ? Il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… rĂ©pondit Non, oeuvrez, car chacun sera mis dans l’aisance pour ce qui lui a Ă©tĂ© dĂ©crĂ©tĂ© ». RapportĂ© par al BukhĂąrĂź du hadith d’AlĂź ibn AbĂź TĂąlib qu’AllĂąh l’agrĂ©e Nous rĂ©torquons au pĂ©cheur qui se justifie par le destin, que s’il voulait voyager vers la Mecque et qu’il y avait face Ă  lui, deux routes Une dangereuse et difficile et l’autre, sĂ»re et facile, il prendrait certes la seconde et jamais il n’emprunterait la premiere . Mais, il dirait quand mĂȘme par la suite Ceci m’a Ă©tĂ© dĂ©crĂ©tĂ©, c’est mon destin. Et s’il lui arrivait d’emprunter la premiĂšre route, on le traiterait de fou . De mĂȘme, si on lui proposait deux emplois, le premier avec un bon salaire, et le deuxiĂšme, moin bien payĂ©, certe il choisirait le premier emploi et dĂ©laisserait le second . Comment alors choisit t’il pour lui mĂȘme, parmi les actes de la vie future les mauvaises actions, puis il se rĂ©fugie derriĂšre le destin ? Nous lui disons encore que si une maladie le touchait, il courrait frapper Ă  la porte de tous les mĂ©decins pour le guĂ©rir, et il endurerait les douleurs d’une Ă©ventuelle opĂ©ration chirurgicale, ou le goĂ»t horrible des mĂ©dicaments. Pourquoi alors ne fait il pas le mĂȘme effort avec la maladie qui atteint son coeur Ă  cause de ses pĂ©chĂ©s ? Nous croyons que l’on ne peut pas attribuer le mal Ă  AllĂąh car Sa misĂ©ricorde et Sa sagesse sont parfaites . Le prophĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a dit Et le mal ne s’attribue pas Ă  Toi » RapportĂ© par Muslim Le destin qu’AllĂąh Le TrĂšs-Haut dĂ©crĂ©te ne comporte pas de mal en soi, car il procĂšde d’une misĂ©ricorde et d’une sagesse. Seulement, le mal existe dans les consĂ©quences de Ses dĂ©crets, selon la parole du prophĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù…, dans l’invocation du QunĂ»t, qu’il enseigna Ă  Hassan Et Ă©pargne moi le mal que Tu as dĂ©crĂ©tĂ© ». Il a ajoutĂ© le mal dans ce qu’Il a dĂ©crĂ©tĂ©. MalgrĂ© cela, le mal existant certes comme rĂ©sultat de Ses dĂ©crets, n’est pas un mal pur. Au contraire, une situation peut ĂȘtre un mal et en mĂȘme temps un bien, pour une mĂȘme personne. Et il se peut aussi qu’elle soit un mal pour une personne et un bien pour une autre personne . Les malheurs apparus sur terre comme la sĂ©cheresse, la famine, la maladie, la pauvretĂ© et la peur sont des maux en soi, mais dans un autre contexte, ils peuvent ĂȘtre des bienfaits, selon la parole du TrĂšs-Haut traduction rapprochĂ©e La corruption est apparue sur terre et sur mer Ă  cause de ce que les gens ont accompli de leurs propres mains , afin qu’AllĂąh leur fasse goĂ»ter une partie de ce qu’ils ont oeuvrĂ© , peut ĂȘtre reviendront ils » sourate Les Romains verset 41 Couper la main du voleur et lapider le fornicateur sont un mal pour les coupables . Mais, c’est aussi un bien pour eux, puisqu’ils seront absous de leur pĂ©chĂ© dans la vie prĂ©sente, et AllĂąh ne les chĂątira pas une seconde fois dans l’au delĂ . De mĂȘme, c’est un bien puisque c’est, dans un autre contexte, un outil de protection des biens, de l’honneur et de la progĂ©niture. La profession de foi des gens de la Sunna et du consensus Cheikh Mouhammad Ibn Salih Al-’Outheymine – Ű§Ù„ŰŽÙŠŰź Ù…Ű­Ù…ŰŻ ŰšÙ† Ű”Ű§Ù„Ű­ Ű§Ù„ŰčŰ«ÙŠÙ…ÙŠÙ† Le cep et les sarments 1 “Je suis la vraie vigne et mon PĂšre est le vigneron. 2 Quand une branche, en moi, ne porte pas de fruit, il l’enlĂšve; quand une branche donne du fruit, il la taille et la nettoie pour qu’elle en porte davantage. 3 Le message que je vous ai donnĂ© vous a dĂ©jĂ  purifiĂ©s, 4 mais demeurez en moi, et moi en vous. Le sarment ne pourra pas donner de fruits par lui-mĂȘme s’il ne reste pas sur la vigne; ce sera pareil pour vous si vous ne restez pas en moi. 5 “Je suis la vigne et vous ĂȘtes les sarments. Sans moi vous ne pouvez rien faire, mais celui qui demeure en moi et moi en lui, porte beaucoup de fruits. 6 “Si quelqu’un ne demeure pas en moi, il est jetĂ© dehors comme les sarments, et tout se dessĂšche; on les met en tas, on les jette au feu et ils brĂ»lent. 7 Mais tant que vous demeurez en moi et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voulez et vous l’obtiendrez. 8 C’est ainsi que mon PĂšre est glorifiĂ©, quand vous portez beaucoup de fruits; et alors vous devenez mes disciples. 9 “Comme le PĂšre m’a aimĂ©, moi aussi je vous ai aimĂ©s demeurez en mon amour. 10 Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez en mon amour, tout comme j’ai gardĂ© les commandements de mon PĂšre et je demeure en son amour. 11 Je vous dis tout cela pour que ma joie soit en vous, et que votre joie soit entiĂšre. 12 “Voici mon commandement Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimĂ©s. 13 Il ne peut pas y avoir de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis, 14 et vous, vous ĂȘtes mes amis si vous faites ce que je vous commande. 15 Aussi, je ne vous appelle plus des serviteurs, car le serviteur ne sait pas ce que fait son maĂźtre; je vous traite d’amis parce que je vous ai fait connaĂźtre tout ce que j’ai appris de mon PĂšre. 16 “Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, mais je vous ai choisis et je vous ai donnĂ© mission pour que vous alliez et que vous portiez du fruit, et que ce fruit demeure. C’est ainsi que le PĂšre vous donnera tout ce que vous demanderez en mon nom. 17 Aimez-vous les uns les autres, c’est lĂ  mon commandement.”L’Ɠuvre du Saint-Esprit et la mort de JĂ©sus 18 “Si le monde vous dĂ©teste, pensez qu’il m’a dĂ©testĂ© avant vous. 19 Si vous Ă©tiez du monde, le monde reconnaĂźtrait les siens et les aimerait. Mais vous n’ĂȘtes pas du monde, et le monde vous dĂ©teste parce que je vous en ai tirĂ©s. 20 Rappelez-vous ce que je vous ai dit le serviteur n’est pas au-dessus de son maĂźtre. Si l’on m’a persĂ©cutĂ©, on vous persĂ©cutera de mĂȘme. A-t-on accueilli ma parole? Alors, va-t-on accueillir la vĂŽtre? 21 “Tout ce qu’ils feront contre vous, ce sera Ă  cause de mon nom, parce qu’ils ne connaissent pas celui qui m’a envoyĂ©. 22 Si je n’étais pas venu pour leur parler, ils n’auraient pas de pĂ©chĂ©. Mais maintenant ils n’ont plus d’excuses pour leurs pĂ©chĂ©s. 23 “Celui qui me dĂ©teste, dĂ©teste aussi mon PĂšre. 24 Si je n’avais pas fait parmi eux des Ɠuvres que personne d’autre n’a faites, ils n’auraient pas de pĂ©chĂ©. Mais maintenant ils ont vu, et ils m’ont dĂ©testĂ© aussi bien que mon PĂšre. 25 Il fallait que s’accomplisse cette parole qu’on lit dans leur Loi ils m’ont dĂ©testĂ© sans raison.” 26 “Mais je vais vous envoyer d’auprĂšs du PĂšre le Protecteur, et quand il sera lĂ , l’Esprit de VĂ©ritĂ© qui vient du PĂšre, il me rendra tĂ©moignage. 27 Et vous aussi, vous me rendrez tĂ©moignage, car vous ĂȘtes avec moi depuis le commencement.”

ce n est pas vous qui m avez choisi