Pourpromouvoir, en cette pĂ©riode de confinement, les nombreuses merveilles antiques qu'elle recĂšle, l'Egypte a mis en ligne des visites virtuelles permettant d'explorer plusieurs sites archĂ©ologiques dont une tombe de 4.300 ans richement dĂ©corĂ©e situĂ©e Ă  Saqqarah. Cettesous-page contient les instructions et les catĂ©gories de son modĂšle d'origine et elle n'est pas destinĂ©e Ă  ĂȘtre visualisĂ©e directement. Ce modĂšle Ă  pour but d'afficher la sĂ©pulture d'une personnalitĂ© de l' Égypte antique (pharaon ou pharaonne, Divine adoratrice d'Amon, Grand prĂȘtre, Vizir, etc.) sur toute la largeur de la page. Cetteembarcation, enterrĂ©e sur un lit de pierres Ă  proximitĂ© d'un mastaba --sĂ©pulture abritant traditionnellement des notables importants dans l'Egypte antique--, devait "appartenir au Notresite Web est le meilleur qui vous offre CodyCross SĂ©pulture pour notable de l'Égypte antique rĂ©ponses et quelques informations supplĂ©mentaires comme des solutions et des astuces. 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Le pays des pharaons doit sa prospĂ©ritĂ© et son exceptionnelle longĂ©vitĂ© au Nil, qui apportait des inondations annuelles rĂ©guliĂšres, assurant des rĂ©coltes toujours plus abondantes. Principal axe de communication nord-sud, le fleuve Ă©tait bordĂ© par un immense dĂ©sert qui protĂ©geait la rĂ©gion des invasions et offrait pierres de construction et mĂ©taux prĂ©cieux. Sans le Nil, l’Égypte ne serait donc qu’un dĂ©sert, et la civilisation Ă©gyptienne n’aurait probablement pas pu naĂźtre. Comme le soulignera l’écrivain grec HĂ©rodote dĂšs le Ve siĂšcle avant l’Égypte est un don du Nil ». L’Egypte antique, un don du Nil De la premiĂšre cataracte, marquant la frontiĂšre sud de l'Égypte antique, Ă  la mĂ©diterranĂ©e, la vallĂ©e du Nil s’étire sur 800 kilomĂštres. Le Nil prend sa source Ă  l’extrĂ©mitĂ© sud de l’Égypte, dans les hautes terres de l’est africain. Les pluies torrentielles qui s’abattent sur cette rĂ©gion au dĂ©but de l’étĂ© gonflent les eaux du fleuve jusqu’à les faire dĂ©border en Égypte, Ă  la fin de la saison estivale. En se retirant, les crues laissent une terre humide et couverte de limon. Nul besoin pour les Ă©gyptiens d’ériger des dĂ©fenses contre les inondations ou d’édifier des rĂ©seaux d’irrigation. AprĂšs avoir semĂ© en automne, dans un sol fertile et gorgĂ©s d’eau, il leur suffisait de laisser mĂ»rir les cultures sous le chaud soleil hivernal pour moissonner les champs au printemps, juste avant l’inondation suivante. La famine touchait la population que lorsque par malheur les crues du Nil faisaient dĂ©faut. Dans la vallĂ©e du Nil, l’agriculture fit son apparition aux environs du VIeme millĂ©naire avant J-C. À cette Ă©poque, l’Afrique du nord Ă©tait plus humide qu’aujourd’hui le Sahara, vaste Ă©tendue de prairies parsemĂ©es de grands lacs Ă©tait cultivable. Aux environs de 4000 avant J-C le climat devint plus sec et la rĂ©gion se dĂ©sertifia. Certains cultivateurs adoptĂšrent alors une vie de bergers nomades, d’autres migrĂšrent dans la vallĂ©e du Nil, bientĂŽt densĂ©ment peuplĂ©e. Aux origines de la civilisation Ă©gyptienne Avant mĂȘme que ne commence l’histoire de l’Égypte antique, les habitants de la vallĂ©e du Nil distinguent deux rĂ©gions la Haute-Égypte, au sud, le long du fleuve, et la Basse-Égypte, au nord, autour de son delta. Les deux rĂ©gions ont leur dieu protecteur la dĂ©esse vautour Nekhbet au sud et la dĂ©esse cobra Ouadjet au nord et leurs symboles le lotus et la couronne blanche au sud, le papyrus et la couronne rouge au nord. Peu avant 3000 avant j-c, un royaume Ă©mergea dans le sud de la rĂ©gion en haute Égypte. Le systĂšme d’écriture pictographique des hiĂ©roglyphes Ă©tait alors en usage. Historiquement le premier roi Ă©gyptien Ă©tait Narmer, Ă  qui on attribua la victoire sur la basse Égypte et l’unification du pays. Il Ă©tablit sa capitale royale Ă  Memphis en un point stratĂ©gique au centre du nouvel Ă©tat. Sous le rĂšgne des souverains qui lui succĂ©dĂšrent, l' Egypte se dota d'un puissant systĂšme gouvernemental. Le pouvoir du roi reposait sur sa nature divine il Ă©tait considĂ©rĂ© comme le fils de RĂą, le dieu-soleil, ce qui lui donnait l’immortalitĂ©. À partir des textes qui nous sont parvenus, les historiens ont pu Ă©tablir la liste dĂ©taillĂ©e des dynasties royales qui ont contrĂŽlĂ© l’Égypte antique, et les dates approximatives de leurs rĂšgnes, sur une pĂ©riode allant presque sans interruption de 2920 Ă  30 av. Ils ont ainsi dĂ©coupĂ© l’histoire de l’Egypte en Ă©poques distinctes. Les premiĂšres dynasties 2920-2649 av furent suivis par l’ancien empire 2649-2134 av. durant lequel le pouvoir monarchique Ă©tendit son influence vers le sud jusqu’en Nubie. Puis s’installa une pĂ©riode de troubles qui vit s’affronter des dynasties rivales premiĂšre pĂ©riode intermĂ©diaire 2134-2040 av. avant que le pays soit Ă  nouveau unifiĂ© sous le Moyen Empire 2040-1640 av. Le pharaon, un roi-dieu Le mot pharaon » dĂ©signe les souverains de l’Égypte antique. Le pharaon possĂšde une double nature il est Ă  la fois un roi-homme et le fils du dieu solaire RĂȘ. Le pharaon est considĂ©rĂ© par les Égyptiens comme l’incarnation des dieux qui l’ont placĂ© sur Terre pour qu’il leur serve d’intermĂ©diaire avec les hommes. Si les Égyptiens lui reconnaissent des pouvoirs magiques, comme de gĂ©rer les crues du Nil, le pharaon ne devient dieu qu’aprĂšs sa mort. Durant son rĂšgne, le pharaon est dotĂ© de pouvoirs illimitĂ©s il est Ă  la fois le chef politique, le chef des armĂ©es et le chef religieux. Dans son travail, il est aidĂ© par une puissante administration dont les personnages les plus importants sont les vizirs. Le pharaon dispose donc d’un pouvoir absolu et trĂšs centralisĂ©. Les diffĂ©rents pouvoirs du pharaon sont symbolisĂ©s par ses attributs. Il porte le pschent la double couronne de la Haute-Égypte et de la Basse-Égypte, qui indique qu’il domine l’ensemble du pays. Sur son front se dresse l’urĂŠus, le cobra protecteur. Dans ses mains, le souverain brandit deux sceptres le crochet et le fouet, emblĂšmes de sa royautĂ©. Durant toute l’histoire de l’Égypte ancienne, 31 dynasties de pharaons se sont succĂ©dĂ© sur le trĂŽne Ă©gyptien jusqu’à la conquĂȘte du pays par Alexandre le Grand, en 332 avant car les souverains suivants, c’est-Ă -dire les dynasties macĂ©donienne et ptolĂ©maĂŻque, ne sont pas rĂ©ellement des pharaons. L'Ancien Empire Vers 2649 av. commence la pĂ©riode appelĂ©e Ancien Empire. C’est au cours de cette pĂ©riode que la monarchie et la civilisation Ă©gyptiennes allaient prendre leurs caractĂšres dĂ©finitifs. L’Ancien Empire vit s’affirmer des valeurs qui ne cessĂšrent jamais d’ĂȘtre des rĂ©fĂ©rences pour les siĂšcles, voire les millĂ©naires suivants. Tout le systĂšme de l’Egypte pharaonique reposait sur la conception de la royautĂ© divine. Incarnation d’Horus et fils d’Osiris, le roi est l’interprĂšte et l’agent de la force vitale qui anime le monde. MaĂźtre absolu des hommes et des choses, il dirige seul l’administration et toute l’activitĂ© Ă©conomique. La terre Ă©gyptienne lui appartient toute. Les paysans, considĂ©rĂ©s comme des dĂ©pendants, astreints aux corvĂ©es, travaillent en Ă©quipes familiales sous la surveillance de fonctionnaires royaux. CentralisĂ©e, bureaucratique, la monarchie de l’Ancien Empire n’en est pas pour autant arbitraire. DĂšs les origines, l’idĂ©e du pouvoir n’est pas sĂ©parĂ©e de la notion de justice. A l’origine, le roi seul accĂšde Ă  l’immortalitĂ©. À sa mort, il est assimilĂ© au dieu Osiris et continue de protĂ©ger sa maison et ses sujets sur terre. C’est pourquoi la construction de tombeaux capables de dĂ©fier les siĂšcles et de prĂ©server l’immortalitĂ© du roi constitue l’Ɠuvre essentielle des rĂšgnes Ă©gyptiens. DĂšs le rĂšgne de SnĂ©frou vers 2625/2601, les Ă©gyptiens mĂšnent des expĂ©ditions militaires contre les Nubiens, les Libyens ou les nomades du SinaĂŻ dans le but de s’assurer les matiĂšres premiĂšres nĂ©cessaires Ă  leurs grands travaux, comme le bois du Liban. Les bĂątisseurs de pyramides L’Ancien Empire est marquĂ© par l’apparition d’une architecture colossale. Le roi Djoser a pour ministre Imhotep, qui Ă©difie, pour la premiĂšre fois Ă  Saqqarah, un tombeau royal Ă©levĂ© vers le ciel par sept rangĂ©es de pierres formant autant de paliers. Ce tombeau monumental a pour fonction de prĂ©server l’immortalitĂ© du roi qui, aprĂšs sa vie terrestre, continue de protĂ©ger son peuple. Les noms de KhĂ©ops, KhĂ©phren et MykĂ©rinos nous sont ainsi parvenus par les grandes pyramides de Gizeh. La forme des pyramides Ă©voque les rayons obliques du soleil, permettant au roi dĂ©funt d’accĂ©der au paradis. L’édification de ces gigantesques structures de pierre demandait une main-d’Ɠuvre considĂ©rable mobilisĂ©e pendant plusieurs dizaines d’annĂ©es. Lorsque le pharaon dĂ©cĂ©dait, son corps Ă©tait momifiĂ©. Apparu au IIIe millĂ©naire avant le procĂ©dĂ© de momification des morts dans l'Egypte ancienne limite la putrĂ©faction du corps en le dessĂ©chant. Le bandelettage donne presque au cadavre une apparence de vie. Ainsi prĂ©servĂ©, le corps devait fournir Ă  l'Ăąme un abri Ă©ternel. La dĂ©pouille du pharaon Ă©tait portĂ©e jusqu’à la chambre funĂ©raire situĂ©e au centre de la pyramide. Textes et formules magiques ornaient les murs de la salle remplie de somptueux objets destinĂ©s Ă  accompagner le dĂ©funt dans l’au-delĂ . AprĂšs les funĂ©railles, le passage menant Ă  la chambre Ă©tait scellĂ© de blocs de pierre. Contrairement aux idĂ©es reçues, les pyramides ne furent pas construites par des esclaves mais par des artisans qualifiĂ©s, aidĂ©s par les paysans dĂ©sƓuvrĂ©s durant la saison des crues. Nul ne sait exactement de quelle maniĂšre les milliers de lourds blocs de pierre furent hissĂ©s les uns sur les autres. La construction d’une pyramide nĂ©cessitant des moyens considĂ©rables, cette pratique cessa Ă  la fin du moyen empire. Les souverains suivants prĂ©fĂ©rĂšrent tĂ©moigner de leur richesse et de leur pouvoir en faisant bĂątir des temples dĂ©corĂ©s de sculptures et de bas-reliefs monumentaux. Le Moyen-Empire La VIIe dynastie marque le dĂ©but d’une premiĂšre pĂ©riode intermĂ©diaire, qui va durer de 2152 environ Ă  2065 av. Soumis aux raids Ă©trangers, le territoire se morcelle et la famine apparaĂźt tandis que se multiplient des mouvements de rĂ©volte, coĂŻncidant avec la diffusion du culte d’Osiris qui semble tĂ©moigner d’une aspiration populaire Ă  l’immortalitĂ©. AprĂšs une longue pĂ©riode de guerres civiles, Montouhotep II rĂ©ussit Ă  rĂ©unifier l’Egypte Ă  partir de ThĂšbes, vers 2050/2040 avant notre Ăšre. Le Moyen Empire 2050/1786 fut marquĂ© par la restauration de l’autoritĂ© centrale et par la mise en place d’une administration plus souple que celle de l’Ancien Empire. La volontĂ© de renforcer l’unitĂ© nationale s’exprime, durant cette pĂ©riode, par le compromis religieux passĂ© avec les clergĂ©s thĂ©bain et hĂ©liopolitain, par lequel Amon est associĂ© Ă  RĂȘ. La puissance du clergĂ© d’Amon allait se renforcer tout au long du IIe millĂ©naire. Les rois de la XIIe dynastie, Amenemhat Ier 1991/1962 et SĂ©sostris III 1877/1843, Ă©liminent progressivement les puissances provinciales. Intercesseur entre Amon-RĂȘ et les hommes, le pharaon renforce son pouvoir en abaissant celui de la fĂ©odalitĂ© provinciale et en assurant, de son vivant, la succession au trĂŽne. Dans le mĂȘme temps, l’immortalitĂ© se dĂ©mocratise. Tous peuvent dĂ©sormais y accĂ©der, dans les limites imposĂ©es par un rituel trĂšs strict. Cette Ă©poque vit l’apogĂ©e de l’influence des scribes, qui constituaient alors, entre le peuple et les dignitaires, une vĂ©ritable “classe moyenne”. Le Moyen Empire ne fut pas plus impĂ©rialiste » que celui qui l’avait prĂ©cĂ©dĂ©, mais ses rois voulurent assurer la sĂ©curitĂ© du pays en fortifiant les avant-postes de l’Egypte au nord-est, oĂč Amenemhat Ier fit construire face aux BĂ©douins le mur du Prince » vers 1976 ; au sud, oĂč la haute vallĂ©e du Nil fut annexĂ©e jusqu’à Semma, au-delĂ  de la deuxiĂšme cataracte, aux frontiĂšres de la Nubie, et protĂ©gĂ©e par la construction, sous la XIIe dynastie, de quatorze forteresses qui s'Ă©chelonnent d’ÉlĂ©phantine Ă  Semna. Au cƓur de l’Égypte, Amenemhat III 1842/1797 ordonna de grands travaux d’assĂšchement et d’irrigation pour la mise en valeur du Fayoum, oĂč il se fit construire un immense complexe funĂ©raire, le “labyrinthe” des grecs. Invasions et renaissance L’Égypte antique, qui avait vĂ©cu dans la paix et la prospĂ©ritĂ© pendant environ trois siĂšcles rentre dans une pĂ©riode instable, dite deuxiĂšme pĂ©riode intermĂ©diaire 1640-1532 av. L’unitĂ© Ă©gyptienne est Ă©branlĂ©e par l’afflux des populations sĂ©mites d’Asie chassĂ©es par les invasions indo-europĂ©ennes. Ainsi les Hyksos, Ă©tablis dans le nord-est du Delta, profitent de l’affaiblissement du pouvoir des pharaons des XIIIe et XIVe dynasties pour conquĂ©rir toute la Basse-Égypte. Ils maĂźtrisent l’art de la guerre, ont apportĂ© en Égypte chevaux et chars. Une deuxiĂšme pĂ©riode intermĂ©diaire s’ouvre lorsqu’Avaris, centre de la puissance des Hyksos, devient la capitale d’une XVe dynastie Ă©trangĂšre. Les rois hyksos adoptent les coutumes Ă©gyptiennes, adorent les dieux Ă©gyptiens Seth et RĂȘ, et prennent le cartouche et le protocole des pharaons d’Égypte. Le sud, cependant, a rĂ©sistĂ© aux conquĂ©rants. Les princes de ThĂšbes, qui contrĂŽlent le territoire situĂ© entre ÉlĂ©phantine et Abydos, entreprennent de libĂ©rer le territoire. Kamosis parvient Ă  vaincre les Hyksos, mais c’est son frĂšre, le pharaon Amosis Ier, qui finalement les chasse et rĂ©unifie le pays. Il est le vĂ©ritable fondateur de la XVIIIe dynastie et du Nouvel Empire vers 1552/1070. Ahmosis fut le fondateur de la XVIIIe dynastie et du Nouvel Empire vers 1552/1070. C’est Ă  cette Ă©poque qu’apparut le terme de pharaon. Ce titre qui signifie grand palais », symbolisait leur position au centre du gouvernement. L’occupation Ă©trangĂšre qu’ils venaient de subir avait fait comprendre aux Ă©gyptiens qu’était dĂ©finitivement rĂ©volu le temps de l'Isolement dont leur pays avait profitĂ© jusqu’à l’arrivĂ©e des Hyksos. En fortifiant son armĂ©e, l’Egypte s’engagea pour quatre siĂšcles dans une sĂ©rie de guerres interminables dont l’enjeu Ă©tait le contrĂŽle des cĂŽtes syro-palestiniennes, des routes caravaniĂšres menant vers la MĂ©sopotamie et du commerce maritime en MĂ©diterranĂ©e orientale. À la diffĂ©rence de l’Ancien et du Moyen Empire, le Nouvel Empire fut rĂ©solument impĂ©rialiste ; il disputa la maĂźtrise de l’Orient aux deux autres grandes puissances de cette pĂ©riode, le Mitanni et les Hittites, mais ses efforts n’aboutirent jamais Ă  un rĂ©sultat dĂ©finitif. Le Nouvel Empire l’ñge d’or de l’Égypte antique Tant Ă  l’extĂ©rieur qu’à l’intĂ©rieur, tant par les conquĂȘtes que par le luxe de la vie de cour et l’épanouissement des lettres et des arts nĂ©cropole de la vallĂ©e des Rois, la XVIIIe dynastie vers 1570-1319 marqua l’apogĂ©e de l’Égypte ancienne. DĂšs le rĂšgne d’AmĂ©nophis Ier 1546-1524, les troupes du pharaon submergĂšrent la Syrie et atteignirent l’Euphrate; mais ces premiers rĂ©sultats furent rapidement annulĂ©s par des rĂ©voltes locales et par une crise dynastique en Égypte usurpation de la reine Hatshepsout, 1503-1482. Toute l’Ɠuvre de conquĂȘte en Asie dut ĂȘtre recommencĂ©e par Thoutmosis III 1482/1450. Au cours de son rĂšgne personnel, ce pharaon, le plus glorieux de l’histoire Ă©gyptienne, ne mena pas moins de dix-huit campagnes asiatiques. Vainqueur, Ă  Megiddo, d’une puissante coalition syro-palestinienne inspirĂ©e par le Mitanni 1482, il s’empara ensuite de Kadesh sur l’Oronte 1474 et acheva la conquĂȘte de la Syrie en atteignant de nouveau l’Euphrate 1472. Au sud, la Nubie, dĂ©jĂ  annexĂ©e au Moyen Empire, fut rĂ©occupĂ©e par Ahmosis dĂšs le dĂ©but de la XVIIIe dynastie. Thoutmosis II et Thoutmosis III lancĂšrent leurs expĂ©ditions jusqu’au cƓur du pays de Kouch et portĂšrent la frontiĂšre mĂ©ridionale de l’Égypte Ă  la 4e cataracte avant 1477. L’organisation du Nouvel Empire se caractĂ©risait par une grande diversitĂ© rĂ©gionale. L’Égypte antique proprement dite Ă©tait soumise Ă  un systĂšme centralisĂ© et socialisĂ©; la classe moyenne des scribes et des paysans aisĂ©s avait disparu avec l’invasion des Hyksos; dĂ©sormais, le pouvoir central s’appuyait sur un corps de fonctionnaires beaucoup moins nombreux qu’autrefois, mais hĂ©rĂ©ditaires. Dans les pays conquis, l’autoritĂ© impĂ©riale n’avait rien de tyrannique. Si la Nubie, placĂ©e sous l’autoritĂ© d’un vice-roi, fut rapidement et profondĂ©ment Ă©gyptianisĂ©e, en Asie au contraire les pharaons se contentĂšrent d’un rĂ©gime souple de protectorats et d’alliances qui laissait en place les princes locaux, respectait les coutumes, les langues, les religions indigĂšnes. La suzerainetĂ© Ă©gyptienne s’affirmait sous forme d’obligations financiĂšres versement annuel d’un tribut en nature esclaves, minerai, chevaux, chars de guerre, bĂ©tail, bois, huile, etc., Ă©conomiques traitĂ©s commerciaux assurant Ă  l’Égypte le rang de nation favorisĂ©e et militaires chaque peuple soumis devait fournir un contingent qui servait sur place, sous le commandement d’officiers Ă©gyptiens. De la parenthĂšse amarnienne au rĂšgne des Ramesides Le rĂšgne d’AmĂ©nophis III vers 1417/1379 vit l’épanouissement de la paix Ă©gyptienne» dans une prospĂ©ritĂ©, un luxe, une douceur de vivre sans prĂ©cĂ©dent. Cependant, depuis le dĂ©but du Nouvel Empire, le clergĂ© de ThĂšbes n’avait cessĂ© d’étendre son influence et ses domaines fonciers; le grand prĂȘtre d’Amon Ă©tait devenu en quelque sorte le deuxiĂšme personnage de l’État. C’est pour rĂ©agir contre cette ingĂ©rence, peut-ĂȘtre aussi pour fonder durablement l’impĂ©rialisme pharaonique sur une religion plus largement ouverte aux hommes de tous pays qu’AmĂ©nophis IV 1379-1362 dĂ©cida d’abandonner le culte d’Amon, dieu de sa dynastie, pour instaurer la religion Ă©purĂ©e d’Aton, le disque solaire. Prenant lui-mĂȘme le nom d’Akhenaton Splendeur d’Aton », le roi et son Ă©pouse NĂ©fertiti quittent ThĂšbes et fondent une nouvelle capitale, Akhetaton. Cette rĂ©volution se heurta Ă  la rĂ©sistance acharnĂ©e du particularisme Ă©gyptien, incarnĂ© par le clergĂ© thĂ©bain. ToutAnkhAmon 1361-1352, gendre et successeur d’AmĂ©nophis IV, dut rapidement se rĂ©concilier avec les prĂȘtres d’Amon, regagner ThĂšbes et restaurer les traditions. La crise laissait la monarchie Ă©gyptienne affaiblie Ă  l’extĂ©rieur dĂšs 1375 environ, les Hittites avaient supplantĂ© les Égyptiens en Syrie et discrĂ©ditĂ©e Ă  l’intĂ©rieur. Quelques annĂ©es confuses suivirent la mort du jeune ToutAnkhAmon, mais le gĂ©nĂ©ral Horemheb s’empara du pouvoir 1348-1320 et poursuivit la rĂ©organisation de l’État sur la base du traditionalisme le plus strict, avec l’appui du clergĂ© thĂ©bain, qui Ă©tait plus puissant que jamais. Avec la XIXe dynastie 1319/1200, l’Égypte essaya de rĂ©tablir son empire asiatique. SĂ©thi Ier vers 1318-1304 reconquit le sud de la Palestine. Son fils, RamsĂšs II 1304-1238, essaya de reprendre la Syrie aux Hittites, qui furent vaincus Ă  Kadesh vers 1300; mais les campagnes suivantes restĂšrent indĂ©cises, et, vers 1284, Égyptiens et Hittites finirent par signer un traitĂ© qui partageait entre eux la Syrie, et qui fut confirmĂ© par le mariage de RamsĂšs II avec une fille du roi hittite Hattousil III. Le Nouvel Empire renonçait ainsi dĂ©finitivement Ă  la domination solitaire de l’Orient, mais il s’assurait quarante annĂ©es de paix au cours desquelles la civilisation Ă©gyptienne classique jeta son dernier Ă©clat construction du temple funĂ©raire d’Abou-Simbel, de la salle hypostyle de Karnak. DĂ©clin des pharaons et fin de l'Egypte antique Le danger hittite Ă©cartĂ©, l’intĂ©gritĂ© du territoire doit ĂȘtre dĂ©fendue contre de nouveaux envahisseurs les Peuples de la mer, venus des cĂŽtes de l’Asie Mineure et de GrĂšce, dont ils ont Ă©tĂ© chassĂ©s par de nouvelles invasions indo-europĂ©ennes et par l’arrivĂ©e des Doriens en mer ÉgĂ©e. Fils et successeur de RamsĂšs II, Mineptah ou MĂ©renptah les repousse. C’est Ă  cette Ă©poque que les Juifs, persĂ©cutĂ©s par le pharaon, quittent le pays et gagnent la Terre promise, conduits par MoĂŻse. AprĂšs la mort de RamsĂšs III, le deuxiĂšme souverain de la XXe dynastie, commence le dĂ©clin du Nouvel Empire. L’État, ruinĂ© et assailli par les Assyriens et les Libyens, tombe sous la domination du clergĂ© d’Amon, dont le grand prĂȘtre HĂ©rihor, qui prend le pouvoir en Haute-Égypte. MalgrĂ© quelques sursauts sous les rĂšgnes des pharaons ChĂ©chonq Ier 945-924 av. et PsammĂ©tique Ier 664-610 av l’Egypte n’a plus les moyens de rĂ©sister aux incessantes invasions. RuinĂ©s, les derniers pharaons ne disposaient mĂȘme plus des moyens nĂ©cessaires Ă  la construction de leur tombeau. L’Egypte est alors dominĂ©e tour Ă  tour par les Nubiens, les Assyriens et les Perses, avant de se soumettre aux troupes d’Alexandre le Grand en 332 av. Une dynastie d'origine grecque s'installe sur le trĂŽne des pharaons les PtolĂ©mĂ©es. Jusqu'au IIe siĂšcle av. l'Égypte ptolĂ©maĂŻque est un riche et puissant empire, dont la capitale, Alexandrie, constitue un exceptionnel centre commercial et intellectuel. Puis les querelles intestines, les frĂ©quentes rĂ©voltes populaires et les guerres contre l'empire des SĂ©leucides affaiblissent l’empire des Lagides. La puissance de la dynastie lagide dĂ©clina sous une succession de rois faibles aux IIe et Ier siĂšcles av. lorsque Rome commença Ă  intervenir de plus en plus dans les affaires du pays. Le dernier et probablement le plus cĂ©lĂšbre des souverains ptolĂ©maĂŻques fut ClĂ©opĂątre, qui rĂ©gna indĂ©pendamment d’abord, avec l’appui de Jules CĂ©sar puis de Marc Antoine ensuite. Avec sa mort et celle de son fils, PtolĂ©mĂ©e XIV dit CĂ©sarion en 30 av. la dynastie s’éteignit et l’Égypte fut annexĂ©e Ă  l’Empire romain par Auguste. La plus ancienne civilisation antique laisse alors derriĂšre elle un fabuleux hĂ©ritage culturel et artistique, qui fera l’admiration des gĂ©nĂ©rations futures. Bibliographie - Histoire de l'Egypte ancienne de Nicolas Grimal. Fayard, 1988. - Au royaume d'Egypte le temps des rois dieux de Claire Lalouette. Flammarion 1997. - L' Egypte histoires de HĂ©rodote. Les belles lettres, 2002. - Dictionnaire historique de l'Egypte antique, de Philippe Chatel. Berg, 2001. N'hĂ©sitez pas Ă  partager et Ă  aimer si le cƓur vous en dit! NamastĂ© Un article rĂ©cent intitulĂ© » Le pharaon Ă©gyptien antique peut ĂȘtre le premier » gĂ©ant » connu , publiĂ© dans Live Science le 4 aoĂ»t, a rĂ©vĂ©lĂ© que le pharaon Sa-Nakht de la 3e dynastie, fouillĂ© de Wadi Maghareh situĂ© dans la rĂ©gion de la pĂ©ninsule du SinaĂŻ, Ă©tait un so- appelĂ© GĂ©ant» – le premier souverain gĂ©ant connu de l’Égypte ancienne. Il mesurait 13 cm de plus que le robuste RamsĂšs II et 20 cm de plus que l’homme moyen pour l’époque. Bien qu’il ne mesurait que 1,85 m, cela a fait sensation dans les mĂ©dias, mais veuillez noter que je suis de la mĂȘme taille que ce gĂ©ant»! Tout au long du passĂ© de l’Égypte, de nombreux exemples de gĂ©ants beaucoup plus grands ont Ă©tĂ© rapportĂ©s, fouillĂ©s, reprĂ©sentĂ©s dans l’art et des exemples momifiĂ©s qui ont Ă©tĂ© cachĂ©s au public. Nous avons dĂ©couvert des cas allant de sept pieds 2,13 mĂštres Ă  seize pieds 4,88 mĂštres de hauteur. Des recherches minutieuses sur des archives archĂ©ologiques, des textes archaĂŻques, des journaux et des analyses de reprĂ©sentations de hiĂ©roglyphes et d’art Ă©gyptien ont commencĂ© Ă  faire la lumiĂšre sur ce phĂ©nomĂšne. Toute la rĂ©gion du Moyen-Orient est le sujet de lĂ©gendes tenaces concernant des humains gĂ©ants, ainsi que des rĂ©fĂ©rences dans la Bible – qui incluent MoĂŻse fuyant l’Égypte et attaquĂ© par les puissants CananĂ©ens en IsraĂ«l et au Liban actuels. Les comptes rendus de journaux confirment la rĂ©alitĂ© de ces tribus, et des squelettes et des ossements de proportions Ă©normes ont Ă©tĂ© dĂ©couverts dans cette rĂ©gion des Terres de la Bible », ainsi que dans d’autres parties de l’Afrique et du Moyen-Orient. Contes d’un gĂ©ant Ă  deux tĂȘtes les lĂ©gendes de Kap Dwa sont-elles rĂ©elles?Le pharaon Ă©gyptien Sa-Nakht pourrait avoir Ă©tĂ© un gĂ©ant, selon une nouvelle Ă©tude Les dĂ©couvertes en cours de squelettes gĂ©ants» rapportĂ©es en AmĂ©rique et dans d’autres parties du monde ont rĂ©vĂ©lĂ© un hĂ©ritage perdu d’une race de colosses, qui commencent maintenant lentement Ă  ĂȘtre inclus dans les archives historiques et archĂ©ologiques. L’Égypte ne fait pas exception, et mon co-auteur Jim Vieira et moi avons collectĂ© des tĂ©moignages ces derniĂšres annĂ©es qui, pour la premiĂšre fois, sont rĂ©vĂ©lĂ©s dans cet article. Les gĂ©ants ont-ils construit la grande pyramide? L’élite dirigeante des Khemit prĂ©historiques a toujours Ă©tĂ© considĂ©rĂ©e comme des super-humains, certains avec des crĂąnes allongĂ©s, d’autres comme des ĂȘtres semi-spirituels et certains dĂ©crits comme des gĂ©ants. Une lĂ©gende archaĂŻque raconte que les pyramides de Gizeh ont peut-ĂȘtre Ă©tĂ© construites par une race de gĂ©ants. Il a Ă©tĂ© partagĂ© dans une confĂ©rence par l’occultiste et franc-maçon Manly P. Hall probablement enregistrĂ© dans les annĂ©es 1980 et le gĂ©ologue Kristan T. Harris l’a publiĂ© sur une vidĂ©o Youtube. Il faisait Ă  l’origine partie d’une confĂ©rence intitulĂ©e Atlantis et les dieux de l’AntiquitĂ© . On nous dit qu’en l’an 820 aprĂšs 
 revenons au temps de la gloire de Bagdad, le grand sultan, le disciple et descendant du grand El-Rashid des mille et une nuits, le sultan El-Rashid Al-Ma mun, a dĂ©cidĂ© d’ouvrir la Grande Pyramide. On lui avait dit qu’elle avait Ă©tĂ© construite par des gĂ©ants, que l’on appelait les Sheddai, des ĂȘtres surhumains, et que dans cette pyramide et ces pyramides, ils avaient stockĂ© un grand trĂ©sor au-delĂ  de la connaissance de l’homme . Les pierres d’enveloppe massives de la Grande Pyramide. En 832 aprĂšs JC, la pyramide entiĂšre en Ă©tait encore couverte. Auteur fourni Il est vrai qu’en 832 aprĂšs JC, Al-Ma’mun s’est rendu en Égypte et a Ă©tĂ© le premier excavateur» de la Grande Pyramide, Ă  une Ă©poque oĂč elle Ă©tait complĂštement encastrĂ©e dans des blocs de calcaire blanc. Qui sont les Sheddai est un autre mystĂšre, mais pourrait faire rĂ©fĂ©rence Ă  un autre nom de Shemsu Hor , ou » disciples d’Horus ». Cela pourrait Ă©galement faire rĂ©fĂ©rence Ă  Shaddād bin Ad roi de Ad, qui Ă©tait censĂ© ĂȘtre le roi de la citĂ© arabe perdue d’ Iram des Piliers , dont un rĂ©cit est mentionnĂ© dans la sourate 89 du Coran. Il est parfois qualifiĂ© de gĂ©ant. L entrĂ©e» de la Grande Pyramide qui fut entrĂ©e en 832 aprĂšs JC. Olaf Tausch / CC BY Les gĂ©ants de la construction publicitaire et mĂ©galithique en Égypte L’ Akhbār al-zamān, Ă©galement connu sous le nom de Livre des Merveilles vers 900 – 1100 aprĂšs JC, est une compilation arabe de traditions mĂ©diĂ©vales sur l’Égypte et le monde avant le dĂ©luge. Il prĂ©tend que les habitants de Ad’ Ă©taient des gĂ©ants, donc Shaddad en Ă©tait probablement un, et il est dit qu’il a construit les monuments de Dahchour avec les pierres qui avaient Ă©tĂ© sculptĂ©es Ă  l’époque de son pĂšre . » Avant cela, le gĂ©ant Harjit avait commencĂ© sa construction. Plus tard, Qofáč­arÄ«m, un autre gĂ©ant, plaça des secrets dans les pyramides de Dahchour et d’autres pyramides, pour imiter ce qui avait Ă©tĂ© fait autrefois. Il a fondĂ© la ville de DendĂ©rah. » Dashur se compose de la pyramide rouge et de la pyramide courbĂ©e construites sous le rĂšgne du pharaon Sneferu 2613-2589 avant JC. Dendera se compose de piliers hautement dĂ©corĂ©s dĂ©diĂ©s Ă  la dĂ©esse Hathor. La pyramide rouge et la pyramide courbĂ©e de Dashur, avec l’auteur de cet article debout devant. Photos de Hugh Newman. Le texte poursuit en disant que Naqraus, le premier roi d’Égypte aprĂšs le dĂ©luge, avec ses compagnons construisit des monuments, Ă©rigea de hautes tours et exĂ©cuta les Ɠuvres merveilleuses », tandis que la ville de Memphis Ă©tait l’Ɠuvre d’un ensemble ultĂ©rieur des gĂ©ants, qui ont travaillĂ© pour le roi Misraim, un autre gĂ©ant. Plus tard encore, il dĂ©crit le travail de plusieurs de ces colosses AdÄ«m Ă©tait un gĂ©ant, avec une force insurmontable, et le plus grand des hommes. Il ordonna l’extraction des roches et leur transport pour construire des pyramides, comme cela se faisait autrefois. Alors, que pensons-nous de ces histoires? Il semble que Manly P. Hall Ă©tait au courant de ce texte et a tentĂ© de le rĂ©sumer dans sa confĂ©rence. L’auteur est d’avis que toutes les anciennes traditions» mĂ©ritent d’ĂȘtre reconnues, car nombre de ces traditions reposaient sur elle pour transmettre la connaissance et la sagesse Ă  travers les gĂ©nĂ©rations. Pas le plus grand, pas le plus grand, pas le plus large – Alors qu’est-ce qui fait de ce sĂ©quoia gĂ©ant le prĂ©sident»?Grotte de Lovelock un conte de gĂ©ants ou un conte gĂ©ant de fiction? Les disciples d’Horus» Ă©taient-ils des gĂ©ants? Les disciples d’Horus, qui auraient créé le monticule primordial de Gizeh, bien avant que les pharaons ne construisent les premiĂšres pyramides, sont parfois enregistrĂ©s comme des gĂ©ants. Les premiĂšres fouilles archĂ©ologiques en Égypte montrent cette rĂ©alitĂ© Vers la fin du IV millĂ©naire avant notre Ăšre, le peuple connu sous le nom de Disciples d’Horus apparaĂźt comme une aristocratie hautement dominante qui gouvernait toute l’Égypte. La thĂ©orie de l’existence de cette race est Ă©tayĂ©e par la dĂ©couverte dans les tombes prĂ©dynastiques, dans la partie nord de la Haute Égypte, des restes anatomiques d’individus avec des crĂąnes et des bĂątis plus grands que la population indigĂšne, avec tellement de diffĂ©rence pour exclure toute hypothĂ©tique souche raciale commune. Le professeur Walter B. Emery 1903-1971 Ă©tait l’égyptologue qui a fouillĂ© Saqqarah dans les annĂ©es 1930 et y a dĂ©couvert des restes prĂ©dynastiques. Ceux-ci avaient des crĂąnes dolichocĂ©phales, plus gros que ceux de l’ethnie locale, des cheveux blonds et une corpulence plus haute et plus lourde. Emery a annoncĂ© que ce stock n’était pas indigĂšne en Égypte mais avait jouĂ© un rĂŽle sacerdotal et gouvernemental important dans le pays. Ce groupe a gardĂ© ses distances avec les gens ordinaires, se mĂ©langeant uniquement avec les classes aristocratiques et Ă©tait considĂ©rĂ© comme faisant partie du Shemsu Hor, les disciples ou disciples d’Horus». DĂ©but des fouilles Ă  Saqqara montrant un enterrement typique. SociĂ©tĂ© d’exploration Ă©gyptienne L’auteur Freddy Silva a Ă©galement dĂ©couvert une description allĂ©chante de ces » dieux gĂ©ants » dans les textes du bĂątiment Edfu Les conseils aux initiĂ©s dans le temple d’Edfou offrent un aperçu de ce Ă  quoi les dieux constructeurs auraient pu ressembler, puisque les initiĂ©s avaient pour instruction de se tenir debout avec les Ahau » Dieux qui se lĂšvent » qui mesuraient 9 coudĂ©es de hauteur. Cela fait environ 15 pieds ou 4,6 mĂštres ! » Artefacts gĂ©ants du premier pharaon Le premier pharaon d’Égypte vers 3150 s’appelait Menes ou Narmer, mais est plus connu sous le nom de Roi Scorpion». Il n’y a aucune trace de sa stature, mais il est reprĂ©sentĂ© comme Ă©tant trĂšs grand sur la cĂ©lĂšbre palette Narmer vers 3100 avant JC et pendant son rĂšgne, des artefacts surdimensionnĂ©s ont Ă©tĂ© créés et sont maintenant conservĂ©s dans un musĂ©e Ă  Oxford, en Angleterre. La palette Narmer qui montre le roi gĂ©ant vaincre ses ennemis. vers 3100 avant JC. Domaine public En juillet 2017, j’ai visitĂ© le musĂ©e Ashmolean pour enquĂȘter sur les mystĂ©rieuses sphĂšres de pierre sculptĂ©es Ă©cossaises, mais j’ai pris le temps de regarder l’exposition Ă©gyptienne. À ma grande surprise, il y avait un artefact gĂ©ant Ă©vident de la premiĂšre dynastie et une statue d’un pharaon gĂ©ant de la deuxiĂšme dynastie qui aurait plus de 2,44 mĂštres de haut. Dans la vitrine centrale, un objet Ă©trange a attirĂ© mon attention car il n’avait clairement pas l’air Ă©gyptien. La forme Ă©tait exactement la mĂȘme que celle d’un Boomerang australien, j’ai donc lu le panneau d’information et il l’a dĂ©crit comme un bĂąton de jet». La connexion australo-Ă©gyptienne est un domaine de recherche fascinant, car j’ai visitĂ© les hiĂ©roglyphes de Gosford au nord de Sydney qui pourraient indiquer un contact prĂ©coce entre ces cultures. Dans la mĂȘme vitrine, il y avait des couteaux en silex magnifiquement sculptĂ©s, mais il y en avait un si grand que je ne l’ai pas remarquĂ© au dĂ©but, car il occupait presque toute la largeur de l’armoire. Il Ă©tait au moins dix fois plus gros que les autres et on aurait dit qu’il avait Ă©tĂ© utilisé» comme couteau. Le panneau d’information dit que c’était probablement cĂ©rĂ©monial» car c’est la seule façon d’expliquer sa massivitĂ©. Il a Ă©tĂ© dĂ©couvert Ă  Hierakonpolis, sous les fondations d’un temple plus tardif de la premiĂšre dynastie. Pourquoi il a Ă©tĂ© dĂ©libĂ©rĂ©ment enterrĂ© et cachĂ© si complĂštement est inconnu, mais c’était peut-ĂȘtre d’une maniĂšre cĂ©rĂ©monielle pour honorer les dieux, qui Ă©taient trĂšs probablement des gĂ©ants. L’empreinte gĂ©ante de Pingyan gĂ©ante ou artificielle?Top 10 des dĂ©couvertes gĂ©antes en AmĂ©rique du Nord Couteau en silex surdimensionnĂ© au musĂ©e Ashmolean dit » cĂ©rĂ©monial ». Photos de Hugh Newman. Dans la vitrine opposĂ©e, des tĂȘtes de massues surdimensionnĂ©es qui Ă©taient autrefois en possession du lĂ©gendaire Roi Scorpion» ont attirĂ© mon attention dans le coin de la salle des AntiquitĂ©s d’Égypte . Encore une fois, ils ont Ă©tĂ© dĂ©crits comme cĂ©rĂ©moniels, mais auraient-ils pu ĂȘtre de la bonne taille, conçus pour les rois gĂ©ants? Les tĂȘtes de masse en calcaire sont des versions surdimensionnĂ©es des petites armes en pierre qui Ă©taient des objets funĂ©raires typiques de la pĂ©riode prĂ©dynastique. Ils sont devenus des symboles de l’élite Ă©gyptienne en 3100 avant JC. Photos de Hugh Newman. Dans la suite de l’article, Hugh continue Ă  considĂ©rer les personnages gĂ©ants d’Égypte, y compris les pharaons qui mesuraient 2,44 mĂštres de haut plus de 75 cm de plus que la norme et inhabituellement Ă©levĂ©s mĂȘme selon les normes d’aujourd’hui, des reprĂ©sentations de gĂ©ants, les sarcophages surdimensionnĂ©s et les dĂ©couvertes squelettiques gĂ©antes plus signalĂ©es. Ajout Eveilhomme Ă  l’article original Dans la premiĂšre partie de cette enquĂȘte sur les gĂ©ants, inspirĂ©e par le rapport de la dĂ©couverte d’un soi-disant pharaon Ă©gyptien » gĂ©ant » qui mesurait environ 13 cm de plus que l’égyptien moyen, Hugh Newman met en lumiĂšre des preuves de gĂ©ants bien plus importants dans l’histoire Ă©gyptienne. Nous voyons ici certaines des preuves physiques les plus crĂ©dibles qui suggĂšrent l’existence d’Egyptiens beaucoup plus grands que la moyenne. Un roi gĂ©ant de plus de 2,45 m de haut Le roi Khasekhemui Ă©galement orthographiĂ© Khasekhemwy et Khasekhem, vers 2690 avant JC Ă©tait le dernier dirigeant de la deuxiĂšme dynastie d’Égypte basĂ©e prĂšs d’Abydos et a Ă©tĂ© impliquĂ© dans la construction de Hierakonpolis, la capitale prĂ©dynastique. C’est le mĂȘme site oĂč le couteau gigantesque mentionnĂ© prĂ©cĂ©demment a Ă©tĂ© dĂ©couvert. Il a Ă©tĂ© enterrĂ© dans la nĂ©cropole d’Umm el-Qa’ab dans ce qui Ă©tait autrefois dĂ©crit comme la plus ancienne structure de pierre en Egypte. La grande tombe en calcaire n’était en aucun cas sophistiquĂ©e et lorsque le professeur Robert Temple a enquĂȘtĂ© sur le site en 2001, il a Ă©tĂ© Ă©tonnĂ© que la qualitĂ© de la construction soit si primitive. Surtout par rapport Ă  la pyramide Ă  degrĂ©s de Djoser Ă  Saqqarah, datĂ©e du dĂ©but de la troisiĂšme dynastie, quelques annĂ©es plus tard. On pensait Ă©galement que Djoser avait enterré» Khasekhemui sur ce site avant de se dĂ©placer vers le nord dans la rĂ©gion de Saqqarah. En haut BĂątiments mortuaires Ă  Hierakonpolis. En bas le site de sĂ©pulture et le plan du cimetiĂšre. Avec l’aimable autorisation de Google Earth et » Odyssey, Adventures in Archaeology Le squelette de Khasekhemui n’a jamais Ă©tĂ© retrouvĂ©, ce qui suggĂšre qu’il a Ă©tĂ© pillĂ© bien avant les fouilles. Le roi de la deuxiĂšme dynastie est unique dans l’histoire Ă©gyptienne car il a Ă  la fois les symboles d’Horus et de Set sur son serekh. Certains Ă©gyptologues pensent qu’il s’agissait d’une tentative d’unifier les deux factions, mais aprĂšs sa mort, Set a Ă©tĂ© dĂ©finitivement retirĂ© du serekh. Il Ă©tait le premier roi Ă©gyptien connu pour avoir construit des statues de lui-mĂȘme. Mais la chose la plus surprenante Ă  propos de ce pharaon Ă©tait le fait qu’il Ă©tait en quelque sorte un gĂ©ant. Flinders Petrie, qui a fouillĂ© le site pour la premiĂšre fois, a trouvĂ© des preuves du 3e siĂšcle avant JC qu’il mesurait 
 5 coudĂ©es et 3 paumes de haut, ce qui ferait environ 8 pieds anglais 2,44 m, si la courte coudĂ©e de 17,4 pouces Ă©tait utilisĂ©e . » Dans la traduction la plus rĂ©cente de Manetho, il est dit Il mesurait cinq coudĂ©es et trois paumes huit pieds et demi . » On pense que Manetho Ă©tait un prĂȘtre Ă©gyptien de Sebennytus qui a vĂ©cu pendant l’ùre ptolĂ©maĂŻque au dĂ©but du 3Ăšme siĂšcle avant JC et il a Ă©crit sur ce gĂ©ant Ă  Aegyptiaca Î‘áŒ°ÎłÏ…Ï€ÎčαÎșΜ, ou Histoire de l’Égypte, un livre Ă©crit Ă  la demande de PtolĂ©mĂ©e II Philadelphus. Cependant, si nous utilisons le Royal Cubit’, sa hauteur augmente Ă  14 pieds, 7 pouces 4,45 mĂštres de hauteur. ConsidĂ©rant qu’il Ă©tait un roi », la coudĂ©e royale » devrait peut-ĂȘtre ĂȘtre considĂ©rĂ©e, mais ce type de stature est bien en dehors de la gamme normale des humains, donc bien que tentant et en corrĂ©lation avec d’autres comptes, la plage de hauteur plus conservatrice de 8 pieds Ă  8 pieds 6 pouces 2,44-2,6 mĂštres est beaucoup plus probable. Une statue de lui est exposĂ©e au musĂ©e Ashmolean d’Oxford, mais elle ne donne pas de dĂ©tails sur sa taille. Statue en pierre calcaire de Khasekhemui Ă  l’Ashmolean Museum d’Oxford. Photo par Hugh Newman. On dit que le pharaon Khasekhemui a rĂ©gnĂ© pendant 48 ans et a uni la Haute et la Basse Égypte pendant son rĂšgne. Peut-ĂȘtre Ă©tait-il craint, car un roi de cette stature devait ĂȘtre trĂšs influent et dominer ses contemporains et ses ennemis. Il est Ă©galement important de noter que la premiĂšre preuve d’inscription d’un roi Ă©gyptien sur le site libanais de Byblos appartenait au rĂšgne de Khasekhemui. Étant trĂšs proche d’Abydos et du temple englouti antĂ©rieur appelĂ© l’Osirion, peut-on considĂ©rer qu’il a Ă©tĂ© impliquĂ© dans sa construction supĂ©rieure? Cela expliquerait certainement comment de tels blocs massifs auraient pu ĂȘtre mis en place, mais la pierre primitive de son rĂšgne est incompatible avec cela. L’Osirion Ă  Abydos montrant une construction en pierre sophistiquĂ©e. Photo par Hugh Newman. Fait intĂ©ressant, la cĂ©lĂšbre liste des rois d’Abydos est gravĂ©e sur le temple de Seti l Ă  Abydos et des reprĂ©sentations de la 19e dynastie montrent un Seti plus grand que nature reprĂ©sentĂ© Ă  environ 2,44 mĂštres de haut. Dans une Ă©trange tournure, Khasekhemui a Ă©tĂ© omis de la liste finale, de mĂȘme que certains autres rois notables, qui Ă©taient apparemment considĂ©rĂ©s comme illĂ©gitimes. L’empreinte gĂ©ante de Pingyan gĂ©ante ou artificielle?Top 10 des dĂ©couvertes gĂ©antes en AmĂ©rique du Nord La liste des rois d’Abydos est une liste des noms de soixante-seize rois de l’Égypte ancienne, trouvĂ©s sur un mur du temple de Seti I Ă  Abydos, en Égypte. Cette liste omet les noms de nombreux pharaons antĂ©rieurs, tels que Khasekhemui. Domaine public ReprĂ©sentation d’un gĂ©ant Ă  Saqqarah La troisiĂšme dynastie a vu la grande pyramide de Saqqara construite avec de nombreux autres temples dans le complexe. Djoser, qui a enterrĂ© le gigantesque roi Khasekhemui et peut-ĂȘtre Ă©tait son fils, Ă©tait le dirigeant de Saqqara lors de sa construction. Dans le complexe, une peinture d’un gĂ©ant qui semble clairement avoir un crĂąne allongĂ© a Ă©tĂ© photographiĂ©e avec l’égyptologue Zahi Hawass l’examinant. Il n’a pas l’air trop content! Cependant, cela pourrait ĂȘtre une reprĂ©sentation des squelettes qui ont Ă©tĂ© fouillĂ©s par Emery dans les annĂ©es 1930 d’ individus avec des crĂąnes plus gros et des bĂątis plus grands que la population indigĂšne » ? Zahi Hawass et un archĂ©ologue inspectant une reprĂ©sentation d’un possible gĂ©ant Ă  Saqqarah en 2007. Avec l’aimable autorisation d’AP Photo / Ben Curtis. Les gĂ©ants du temple d’Isis Cette histoire inhabituelle a Ă©tĂ© rapportĂ©e dans plusieurs journaux en 1895 et 1896, mais nous en prĂ©sentons la version la plus ancienne et la plus complĂšte. La photo est une reconstruction du temple d’Isis, d’oĂč provient le rĂ©cit. Il est apparu Ă  l’origine dans The Arizona Silver Belt ., 16 novembre 1895 avec le titre GĂ©ants Ă©gyptiens prĂ©historiques En 1881, lorsque le professeur Timmerman s’est engagĂ© Ă  explorer les ruines d’un ancien temple d’Isis sur les rives du Nil, Ă  25 Km au-dessous de Najar Djfard, il a ouvert une rangĂ©e de tombes dans lesquelles une race prĂ©historique de gĂ©ants avait Ă©tĂ© enterrĂ©e. Le plus petit des squelettes sur une soixantaine de mĂštres, qui ont Ă©tĂ© examinĂ©s Ă  l’époque oĂč Timmerman fouillait Ă  Najar Djfard, mesurait 2,4 mĂštres de long et 3,4 mĂštres. Des tablettes commĂ©moratives ont Ă©tĂ© dĂ©couvertes en grand nombre, mais il n’y avait pas de trace cela laissait mĂȘme entendre qu’ils Ă©taient dans la mĂ©moire d’hommes d’une taille extraordinaire. On pense que les tombes remontent Ă  l’annĂ©e 1043 avant Le temple d’Isis sur l’üle de Philae avec le compte rendu de journal dĂ©taillant la dĂ©couverte de gĂ©ants. Photo par Hugh Newman. Il n’y a pas plus d’informations sur ce rapport, mais il a Ă©tĂ© rĂ©pĂ©tĂ© dans The Arizona Weekly Citizen , 1er fĂ©vrier 1896, et dans plusieurs autres journaux. Doigt momifiĂ© de gĂ©ant de 5 mĂštres de haut Photo du doigt momifiĂ© avec mesures, gracieusetĂ© de Gregor Sporri. Selon le journal allemand un propriĂ©taire de boĂźte de nuit suisse nommĂ© Gregor Spörri a pris un certain nombre de photos d’un doigt gĂ©ant momifiĂ© en 1988. Le propriĂ©taire Ă©tait un voleur de tombes Ă  la retraite qui Ă©tait basĂ© dans le quartier de Bir Hooker, prĂšs de Sadat City , Ă  environ 100 km 62,14 miles au nord du Caire. Le doigt mesure prĂšs de 35 cm de long et, s’il est authentique, il appartenait Ă  une personne estimĂ©e entre 15 et 16 pieds 4,57 Ă  4,88 mĂštres ou Ă  quelqu’un avec des mains surdimensionnĂ©es!. Cependant, la dĂ©couverte n’a Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©e que le 9 mars 2012, vingt-quatre ans plus tard, et depuis lors, il n’y a pas eu de rejet officiel de la dĂ©couverte. Nagib a dit Ă  Gregor qu’il avait Ă©tĂ© dĂ©couvert il y a environ 150 ans et qu’il avait Ă©tĂ© gardĂ© dans la famille, qui s’était mĂȘme donnĂ© la peine de se faire radiographier le doigt pour confirmer son authenticitĂ© dans les annĂ©es 1960. Spörri a dĂ» payer 300 dollars pour voir le doigt momifiĂ© et le prendre en photo. Nagib a refusĂ© de dire Ă  Spörri oĂč le doigt a Ă©tĂ© trouvĂ© mais a fait allusion Ă  une piĂšce cachĂ©e dans le sous-sol de la Grande Pyramide oĂč se trouvent d’énormes tombes vides. Nagib a clairement indiquĂ© que la relique n’était pas Ă  vendre car elle Ă©tait trop importante pour la famille de Nagib. Avant de retourner Ă  son hĂŽtel, Spörri a pris un certain nombre de photos oĂč il a mis un billet de banque Ă  cĂŽtĂ© du doigt pour indiquer la taille . Plus d’images du doigt, y compris une radiographie rĂ©alisĂ©e dans les annĂ©es 1960. Avec l’aimable autorisation de Gregor Sporri. Le problĂšme est que dix-neuf ans plus tard, il est retournĂ© en Egypte pour localiser le monsieur, mais il n’a pas pu trouver Nagib et personne ne savait oĂč il Ă©tait. Un Ă©chantillon d’ADN aurait Ă©tĂ© utile, mais la radiographie, les photographies dĂ©taillĂ©es et sa description approfondie suggĂšrent qu’il s’agissait d’un vĂ©ritable doigt momifiĂ©. Spörri a observĂ© le doigt en dĂ©tail et a pu dĂ©terminer que ce qu’il tenait Ă©tait vieux, organique et humanoĂŻde. Le doigt avait l’air d’avoir Ă©tĂ© coupĂ© avec une prĂ©cision anatomique et, Ă  certains endroits, il Ă©tait Ă©miettĂ©. La peau coriace Ă©tait dĂ©chirĂ©e par endroits et la peau avait quelques mm d’épaisseur. Entre les plis cutanĂ©s sĂ©chĂ©s, il pouvait voir des restes de champignons et l’ongle Ă©tait lĂąche. La surface de la peau a Ă©tĂ© endommagĂ©e Ă  certains endroits, comme si des souris l’avaient rongĂ©e. L’os Ă©tait ligneux . Les photos et radiographies ont Ă©tĂ© examinĂ©es par des professionnels qui n’ont pu voir aucune preuve de falsification. Contes d’un gĂ©ant Ă  deux tĂȘtes les lĂ©gendes de Kap Dwa sont-elles rĂ©elles?Le pharaon Ă©gyptien Sa-Nakht pourrait avoir Ă©tĂ© un gĂ©ant, selon une nouvelle Ă©tude Le cimetiĂšre Million-Mummy rĂ©vĂšle un squelette de 2,15 mĂštres environ Un cimetiĂšre appelĂ© Fag el-Gamous, qui signifie Chemin du buffle d’eau, et une pyramide Ă  proximitĂ© ont Ă©tĂ© fouillĂ©s par des archĂ©ologues de l’UniversitĂ© Brigham Young au cours des 30 derniĂšres annĂ©es. La plupart des momies dĂ©couvertes datent de l’époque oĂč l’Empire romain ou byzantin rĂ©gnait sur l’Égypte, du 1er siĂšcle au 7Ăšme siĂšcle aprĂšs JC. La pyramide, cependant, peut dater d’environ 2500 avant JC, l’époque oĂč les pyramides de Gizeh Ă©taient en cours de construction. Enterrement de Fag el-Gamous. GracieusetĂ© de BYU Excavations. » Nous sommes Ă  peu prĂšs certains que nous avons plus d’un million de sĂ©pultures dans ce cimetiĂšre. Il est grand et dense , a dĂ©clarĂ© le directeur du projet Kerry Muhlestein, professeur agrĂ©gĂ© au DĂ©partement des Écritures anciennes de l’UniversitĂ© Brigham Young, dans un article qu’il a prĂ©sentĂ© Ă  la Colloque de la Society for the Study of Egyptian Antiquities Scholars, qui s’est tenu en novembre 2014 Ă  Toronto. Cependant, on pense maintenant Ă  partir de 2017 qu’il est plus probable qu’il s’agisse de dizaines de milliers de tombes. Une dĂ©couverte qui n’a jamais Ă©tĂ© officiellement publiĂ©e Ă©tait celle d’une momie qui mesurait plus de 2 mĂštres de haut. Une fois, nous avons trouvĂ© un homme qui mesurait plus de 2,15 mĂštres et qui Ă©tait beaucoup trop grand pour tenir dans le manche, alors ils l’ont pliĂ© en deux et l’ont jetĂ© dedans . La petite pyramide qui date d’environ 2500 avant JC, la mĂȘme Ă©poque que la Grande Pyramide de Gizeh. GracieusetĂ© de BYU Excavations. Ce nombre de sĂ©pultures Ă  cĂŽtĂ© d’une si petite colonie a soulevĂ© de nombreuses questions, notamment parce que la pyramide a au moins 2500 ans de plus que le cimetiĂšre, contemporaine de Saqqarah et des premiĂšres phases de la Grande Pyramide. L’énorme quantitĂ© de corps qui se sont retrouvĂ©s ici reste un mystĂšre. Ont-ils Ă©tĂ© amenĂ©s d’autres rĂ©gions parce que c’était une zone sanctifiĂ©e? Ou y a-t-il une autre raison? Quoi qu’il en soit, quelques jours aprĂšs la publication de cette histoire, les archĂ©ologues ont Ă©tĂ© invitĂ©s Ă  arrĂȘter les fouilles par les autoritĂ©s Ă©gyptiennes et leurs permis de creuser ont Ă©tĂ© rĂ©voquĂ©s. Le dĂ©partement suspendra toute mission archĂ©ologique si son directeur nĂ©glige d’informer immĂ©diatement » l’office de toute nouvelle dĂ©couverte, le rĂšglement le stipule ». A t-il Ă©tĂ© interrompu parce qu’ils rĂ©vĂ©laient au monde les gĂ©ants de l’Égypte ancienne? Rien n’indiquait si la momie gĂ©ante avait des signes de gigantisme, mais cela donne encore plus de crĂ©dit Ă  l’idĂ©e que les gĂ©ants vivaient et prospĂ©raient dans l’Égypte ancienne, qu’ils soient des pharaons avec des sĂ©pultures Ă©laborĂ©es, ou pliĂ©s et jetĂ©s dans des trous dans le dĂ©sert. GĂ©ants dans l’art Ă©gyptien Dans cette image suivante, nous pouvons voir divers exemples d’inscriptions et d’art Ă©gyptiens qui semblent reprĂ©senter des gĂ©ants Ă  cĂŽtĂ© de personnes de plus petite stature. Certains ont attirĂ© mon attention, tandis que d’autres pourraient simplement ĂȘtre des adultes avec des enfants, ou l’art de se glorifier. Diverses reprĂ©sentations de gĂ©ants de l’art Ă©gyptien recueillies par Muhammad Abdo. Avec l’aimable autorisation de Muhammad Abdo. Le chercheur Muhammad Abdo a compilĂ© la plupart des images de la compilation ci-dessus. Jetez un coup d’Ɠil par vous-mĂȘme, car il est difficile de dire s’il s’agit de reprĂ©sentations rĂ©alistes ou d’impressions artistiques, mais elles valent la peine d’ĂȘtre notĂ©es de toute façon. Sarcophages gĂ©ants d’Égypte Trois exemples de cercueils massifs de l’Égypte ancienne. GracieusetĂ© de Muhammad Abdo Selon certains chercheurs, de gigantesques cercueils sont la preuve de la prĂ©sence de gĂ©ants en Egypte. J’en ai vu quelques-uns lors de mes voyages, mais il se pourrait simplement qu’ils les aient rendus plus grands que nĂ©cessaire pour impressionner les autres ou pour faire comprendre aux dieux de l’au-delĂ  qu’ils Ă©taient de souche royale. Certains exemples, cependant, posent quelques questions dĂ©licates. Le Serepeum prĂšs de Saqqara est composĂ© de 25 cercueils massifs en granit et en diorite pesant jusqu’à 70 tonnes chacun et des taureaux Apis momifiĂ©s y ont Ă©tĂ© scellĂ©s dans le cadre d’un culte ancien. Un taureau a Ă©tĂ© trouvĂ©, mais un seul, ce qui a conduit Ă  supposer que les autres Ă©taient autrefois utilisĂ©s pour des humains gĂ©ants. Un autre Ă©norme sarcophage est situĂ© sous le plateau de Gizeh dans ce qu’on appelle le puits d’Osiris». Il est en partie immergĂ© sous l’eau, est rarement visitĂ© ou photographiĂ©, et est profondĂ©ment sous la chaussĂ©e en pierre de la soi-disant pyramide de Khafre. Le cercueil en albĂątre de Seti l mesure 2,84 mĂštres de long et se trouve actuellement au Soane Museum de Londres. Il Ă©tait Ă©galement la figure plus grande que nature reprĂ©sentĂ©e sur les listes de roi d’Abydos et avec la masse de son cercueil, vous sauteriez Ă  la conclusion qu’il devait ĂȘtre un trĂšs grand pharaon. Pas le plus grand, pas le plus grand, pas le plus large – Alors qu’est-ce qui fait de ce sĂ©quoia gĂ©ant le prĂ©sident»?Grotte de Lovelock un conte de gĂ©ants ou un conte gĂ©ant de fiction? Le cercueil en albĂątre de 9 pieds 4 pouces de Seti l est maintenant exposĂ© au Soane Museum de Londres. Du sarcophage de Seti I, roi d’Égypte, en 1370 av. par EA Wallis Budge, MusĂ©e de Sir John Soane. 1908. Cependant, sa momie a Ă©galement Ă©tĂ© dĂ©couverte, et elle mesurait 1,7 mĂštre de haut, donc mĂȘme s’il y a des cercueils gĂ©ants et des impressions artistiques de trĂšs grands Egyptiens, cela ne signifie pas qu’ils reprĂ©sentent de vĂ©ritables gĂ©ants humains. Gigantisme dans l’Égypte ancienne Nous avons commencĂ© notre enquĂȘte avec, eh bien, le plus petit gĂ©ant dĂ©couvert dans l’Égypte ancienne, qui correspond juste Ă  ma taille de 1,80 mĂštre. 1,87 mĂštres. MĂȘme Ă  cette faible hauteur, Michael Habicht et ses collĂšgues ont conclu que Sa-Nakht souffrait probablement de gigantisme aprĂšs avoir rĂ©analysĂ© le crĂąne et les os prĂ©sumĂ©s du pharaon. Ils ont dit Les os longs du squelette ont montrĂ© des preuves de croissance exubĂ©rante’, qui sont des signes Ă©vidents de gigantisme . » C’est donc la vraie raison pour laquelle il a Ă©tĂ© qualifiĂ© de gĂ©ant’, pas Ă  cause de sa stature stupĂ©fiante. » En fait, il n’aurait probablement pas Ă©tĂ© assez grand pour faire une Ă©quipe de basket-ball aujourd’hui – un centre NBA typique se situe dans la plage de 2,15 mĂštres. Il y a trĂšs peu de rĂ©cits de gigantisme dans les archives historiques, c’est donc intĂ©ressant en soi. La plupart des rĂ©cits semblent indiquer une ossature squelettique humaine normale, sans signes d’irrĂ©gularitĂ© hypophysaire. Souffrant de gigantisme, Sa-Nakht mesurait 1,80 mĂštre, mais sur l’échelle de hauteur infĂ©rieure des gĂ©ants » prĂ©sentĂ©e dans cet article. GracieusetĂ© de Live Science. Quoi qu’il en soit, avec ces dĂ©couvertes prĂ©sentĂ©es dans cet article, cela justifie simplement l’existence de gĂ©ants en Égypte prĂ©historique et dans le monde, et plus nous explorons les archives de chaque pays, plus nous trouvons d’exemples. Certains de ceux inclus dans cet article ne sont pas particuliĂšrement grands, mais cela renforce l’idĂ©e que ceux qui sont nĂ©s avec des gĂšnes gĂ©ants Ă©taient honorĂ©s et respectĂ©s et faisaient partie de la lignĂ©e royale des tout premiers dirigeants de l’Égypte ancienne. Cela peut mĂȘme faire la lumiĂšre sur la façon dont ces grosses pierres ont Ă©tĂ© extraites et mises en place, car seuls des gĂ©ants, une technologie trĂšs avancĂ©e ou des architectes ingĂ©nieux auraient pu accomplir une tĂąche aussi gargantuesque. Par Hugh Newman Source de l’article Image Ă  la Une Preuve suggĂ©rant la possibilitĂ© de gĂ©ants dans l’Égypte ancienne. Source Hugh Newman N'hĂ©sitez pas Ă  partager et Ă  aimer si le cƓur vous en dit! 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En juillet 2018, une incroyable dĂ©couverte a fait la une des journaux Ă  travers le monde les archĂ©ologues venaient de dĂ©couvrir un complexe funĂ©raire » dans la vaste nĂ©cropole de Saqqara, la ville des morts, situĂ©e sur les rives du Nil Ă  trente kilomĂštres environ du Caire. Au cours des deux derniĂšres annĂ©es, le complexe a Ă©tĂ© examinĂ© de fond en comble et de nouvelles fouilles ont Ă©tĂ© menĂ©es Ă  proximitĂ©, rĂ©vĂ©lant de prĂ©cieuses informations sur le marchĂ© funĂ©raire en Égypte antique. Pendant de longs siĂšcles, les travaux archĂ©ologiques au pays des pharaons Ă©taient exclusivement centrĂ©s sur les tombes royales pour en dĂ©crypter les inscriptions et les artefacts. Les dĂ©tails de la vie de tous les jours Ă©taient en quelque sorte laissĂ©s pour compte. Certes, il y avait des ateliers de momification dans les nĂ©cropoles un peu partout en Égypte, mais plusieurs gĂ©nĂ©rations d’archĂ©ologues en ont fait fi, prĂ©fĂ©rant explorer les profondeurs dĂ©sertiques Ă  la recherche de tombes. Les fouilles de Saqqara mettent en Ă©vidence l’existence d’un marchĂ© funĂ©raire des plus dĂ©veloppĂ©s. Celui-ci est documentĂ© pour la toute premiĂšre fois. Plus de 2 500 ans de chaleur et d’humiditĂ© ont laissĂ© leurs empreintes sur cette momie mal dĂ©composĂ©e. Cependant, des dizaines de perles et autres indices montrent que cette personne faisait partie de la classe privilĂ©giĂ©e. Une chose est sĂ»re les embaumeurs ont le sens des affaires », certifie Ramadan Hussein, Ă©gyptologue basĂ© Ă  l’universitĂ© de TĂŒbingen en Allemagne. Lorsqu’il s’agit de proposer des solutions de rechange, ils font preuve de beaucoup de zĂšle. » Ce luxueux masque funĂ©raire serti d’or et d’argent est au-dessus de vos moyens ? Pas de problĂšme. On vous propose celui en plĂątre blanc et feuille or mĂ©tallisĂ©e », ironise Hussein. Stocker vos restes dans un vase en albĂątre scintillant est hors de prix ? Pourquoi ne pas opter plutĂŽt pour un joli pot en terre cuite peinte ? Un prĂȘtre du nom d’Ayput est enterrĂ© dans un sarcophage en pierre de forme anthropoĂŻde. Les bandelettes de momie sont enduites de goudron ou de rĂ©sine, ce qui leur donne une coloration sombre. Les textes anciens Ă©voquent ces rituels mais, grĂące aux dĂ©couvertes, il nous est dĂ©sormais possible de contextualiser ce marchĂ© funĂ©raire », ajoute Hussein. UNE TROUVAILLE FORTUITE C’est en 2016 que Hussein commence Ă  fouiller le site de Saqqara, Ă  la recherche de tombes bien cachĂ©es dans les trĂ©fonds dĂ©sertiques, de sĂ©pultures qui datent de l’an 600 avant Les puits profonds ont longtemps Ă©tĂ© nĂ©gligĂ©s par les Ă©gyptologues qui, le plus souvent, Ă©taient en quĂȘte de tombeaux remontant Ă  des Ăšres plus lointaines de l’histoire Ă©gyptienne. Le travail de Hussein et de son Ă©quipe est documentĂ© dans une nouvelle sĂ©rie National Geographic en quatre Ă©pisodes, Le royaume des momies Ă©gyptiennes qui sera diffusĂ©e chaque dimanche Ă  21 heures entre le 7 et le 28 juin. En explorant un site fouillĂ© vers la fin des annĂ©es 1800 pour la derniĂšre fois, Hussein et son Ă©quipe dĂ©couvrent un complexe funĂ©raire intact profondĂ©ment enfoui sous le sable. Les travailleurs utilisent un treuil Ă  manivelle pour faire parvenir les outils et autres Ă©quipements Ă  30 mĂštres sous terre. Le complexe funĂ©raire se trouve dans un lieu privilĂ©giĂ© de Saqqara, pas loin de la pyramide de DjĂ©ser, un des monuments les plus anciens et les plus sacrĂ©s d’ avoir enlevĂ© 42 tonnes de remblai, les archĂ©ologues atteignent enfin le fond du puits de douze mĂštres et se retrouvent dans une chambre spacieuse au plafond haut. Du sable et des roches Ă  perte de vue. Les travailleurs s’attellent Ă  la tĂąche. Sous les dĂ©combres, ils retrouvent des milliers de tessons de poterie. Chaque morceau est soigneusement conservĂ©. De longs mois de fouille minutieuse. Quand la chambre est enfin vide, les membres de l’équipe sont abasourdis il ne s’agit pas d’une tombe. On aperçoit des couloirs taillĂ©s dans la roche le long d’un mur. Un tonneau rempli de charbon, de cendre et de sable noir traĂźne dans un coin. GrĂące Ă  un couloir plus ancien, un air frais s’engouffre de temps en temps dans la piĂšce. Pour accĂ©der Ă  l’atelier de momification et aux chambres funĂ©raires, les archĂ©ologues ont dĂ» retirer 42 tonnes de sable et de dĂ©bris de ce tunnel central de 30 mĂštres, creusĂ© dans le substratum pousse Hussein Ă  croire que cette piĂšce a jadis Ă©tĂ© un atelier de momification. On y trouve un brĂ»leur d’encens de puissance industrielle, des conduits de drainage pour canaliser le sang et un systĂšme de ventilation naturelle. Pour se dĂ©barrasser des insectes, il est impĂ©ratif que l’éviscĂ©ration se fasse dans de bonnes conditions », affirme Hussein. Un courant d’air continu est d’une importance majeure lorsque vous manipulez les cadavres. » Au cours de la derniĂšre annĂ©e, les experts en poterie ont rassemblĂ© les tessons de cĂ©ramique pour reconstituer des centaines de petits bols et tasses, tous Ă©tiquetĂ©s. Chaque pot porte le nom de l’huile qu’il contient, ainsi que les jours oĂč celle-ci a Ă©tĂ© utilisĂ©e pour l’embaumement », souligne Hussein. Les instructions sont Ă©crites directement sur les objets. » DES RITUELS SACRÉS QUI CACHENT UNE RÉALITÉ AMÈRE Cette dĂ©couverte est une vĂ©ritable aubaine pour les chercheurs qui Ă©tudient les pratiques funĂ©raires en Égypte antique. Elle offre une vision unique des rites sacrĂ©s mais aussi de la dure rĂ©alitĂ© de la momification. Ramadan Hussein regarde Ă  l’intĂ©rieur d’un sarcophage en pierre Ă  la recherche de momies. L’équipe en a dĂ©couvert plus de que ce processus complexe fasse l’objet d’une documentation importante dans les sources anciennes, et mĂȘme de reprĂ©sentations artistiques sur les murs des tombes Ă©gyptiennes, il a Ă©tĂ© difficile de rassembler des preuves archĂ©ologiques. TrĂšs peu d’ateliers de momification ont Ă©tĂ© fouillĂ©s », indique Dietrich Raue, curateur du musĂ©e Ă©gyptien de l’universitĂ© de Leipzig. Nos connaissances en la matiĂšre comportent donc de nombreuses failles. » Les dĂ©couvertes faites Ă  Saqqara aident Ă  combler ces lacunes », explique Hussein. C’est la premiĂšre fois qu’on peut parler d’archĂ©ologie de l’embaumement. » L'embaumement Ă©tait Ă  la fois un rite sacrĂ© et une procĂ©dure mĂ©dicale pour les anciens Égyptiens. Pour que l’ñme accĂšde Ă  la vie Ă©ternelle, il faut absolument prĂ©server le corps. Le rituel est soigneusement orchestrĂ© on recourt Ă  des rites et des priĂšres bien spĂ©cifiques pendant 70 jours, durĂ©e requise pour momifier un cadavre. D’abord, les viscĂšres Ă©taient prĂ©levĂ©es et conservĂ©es dans des vases canopes. Ensuite, le corps Ă©tait sĂ©chĂ© en utilisant des conservateurs naturels Ă  base de sel comme le natron, puis oint d’huiles aromatiques et enveloppĂ© dans des bandelettes de lin. Des amulettes protectrices Ă©taient ensuite insĂ©rĂ©es dans les plis des tissus. Enfin, on dĂ©posait la momie dans une tombe remplie de provisions pour l’au-delĂ . Plus le rang Ă©tait Ă©levĂ©, plus les objets funĂ©raires Ă©taient prestigieux. La marge de manƓuvre Ă©tant trĂšs limitĂ©e dans cet espace confinĂ©, les travailleurs recourent Ă  des vĂ©rins en acier et Ă  une ingĂ©nierie avancĂ©e pour soulever le couvercle de cinq tonnes d’un Ă©norme suffit de voir les pyramides imposantes des pharaons et l’or scintillant qui orne le tombeau de ToutĂąnkhamon pour comprendre que les plus riches nobles Ă©gyptiens se sont donnĂ©s Ă©normĂ©ment de peine pour accĂ©der Ă  la vie Ă©ternelle en grande pompe. C’était une industrie trĂšs importante », prĂ©cise Hussein. Le voyage de la momie ne touche pas Ă  sa fin une fois la cĂ©rĂ©monie d’embaumement et l’inhumation achevĂ©es. Le flux de revenus non plus. En plus d’ĂȘtre prĂȘtres et entrepreneurs de pompes funĂšbres, les embaumeurs de l'Égypte antique Ă©taient Ă©galement agents immobiliers. SOINS
. ET PROFITS À VIE Les recherches menĂ©es par Hussein lĂšvent le voile sur d’autres mystĂšres. Pendant que les pharaons et l’élite Ă©gyptienne Ă©taient momifiĂ©s et dĂ©posĂ©s dans des cercueils richement ornĂ©s, puis placĂ©s dans des tombeaux spacieux remplis d’offrandes funĂ©raires, les entrepreneurs de pompes funĂšbres essayaient de s’adapter Ă  tous les budgets en proposant des offres spĂ©ciales. Ce qu’on appelle intĂ©gration verticale dans le jargon moderne. Un service complet de l’éviscĂ©ration des corps aux enterrements, en passant par les soins prodiguĂ©s Ă  l’entretien des Ăąmes des dĂ©funts. Moyennant finance, bien entendu. À quelques mĂštres de l’atelier de momification de Saqqara, les archĂ©ologues ont dĂ©couvert un autre puits conduisant Ă  un complexe funĂ©raire oĂč se trouvaient six tombes. Plus de cinquante momies y Ă©taient entassĂ©es. Les archĂ©ologues Maysa Rabeeh Ă  gauche et Mohammed Refaat Ă  droite regardent de prĂšs le cercueil en bois Ă©rodĂ© du prĂȘtre Ayamet, enterrĂ© les bras croisĂ©s sur la poitrine, une posture divine strictement rĂ©servĂ©e aux pharaons en temps fond du puits, prĂšs de trente mĂštres sous terre, les espaces Ă©taient plus chers et les sĂ©pultures particuliĂšrement soignĂ©es. On y retrouve une femme, enterrĂ©e dans un sarcophage en calcaire de plus de sept tonnes. Dans une chambre voisine, le visage d’une autre femme est recouvert d’un masque en argent dorĂ©, le premier mis au jour depuis plus d’un demi-siĂšcle. Cependant, ce complexe funĂ©raire comprend Ă©galement les corps d’Égyptiens de la classe moyenne ou ouvriĂšre, enterrĂ©s dans des cercueils en bois ou simplement recouverts de lin et placĂ©s dans des fosses de sable. En utilisant la photogrammĂ©trie de pointe et des scanners laser 3D, Hussein a rĂ©ussi Ă  reconstituer tout le processus. Ses dĂ©couvertes confirment ce qui est Ă©crit dans des papyrus retrouvĂ©s Ă  Saqqara il y a plus d’un siĂšcle les embaumeurs entassaient des dizaines de corps dans le puits puis percevaient des frais ou des parcelles de terrain en Ă©change de l’entretien spirituel de la momie. Un modĂšle numĂ©rique obtenu Ă  partir d’un scanner 3D montre le puits principal qui mĂšne au complexe funĂ©raire. Les tombes les plus prestigieuses sont situĂ©es dans la partie la plus profonde, considĂ©rĂ©e comme la plus proche de l’ l’époque, nombre de prĂȘtres Ă©taient chargĂ©s de prĂ©server l’esprit des morts. Leur tĂąche consistait Ă  entretenir les tombes et Ă  prier pour le repos de l’ñme des dĂ©funts. Certains possĂšdent des dizaines de tombes, chacune comprenant des centaines de momies. Toutes les semaines, des offrandes Ă©taient dĂ©posĂ©es pour assurer la subsistance des morts », affirme Koen Donker van Heel, Ă©gyptologue Ă  l’universitĂ© de Leyde qui a passĂ© de longues annĂ©es Ă  dĂ©crypter les contrats lĂ©gaux que les prĂȘtres avaient signĂ© avec les familles des dĂ©funts. Les morts, c’est de l’argent. C’est aussi simple que ça. » Le passage dans l'au-delĂ  dans l'Egypte anciennePour la premiĂšre fois, des preuves archĂ©ologiques viennent confirmer ce qui jusque-lĂ  Ă©tait uniquement lu sur des inscriptions ou dans des contrats millĂ©naires. Ce sont des dĂ©couvertes comme celles-ci qui rendent la fouille de Saqqara si particuliĂšre. Elles marquent un tournant dans l’égyptologie les chercheurs s’intĂ©ressent dĂ©sormais Ă  la vie quotidienne d’un Égyptien lambda plutĂŽt que de donner la prioritĂ© aux tombes les plus prestigieuses. Les informations recueillies par Ramadan ont Ă©tĂ© perdues par le passĂ© », insiste Raue, le curateur du musĂ©e Ă©gyptien de l’universitĂ© de Leipzig. On Ă©tait passĂ© outre la structure de surface par manque d’informations. » Sahar Saleem, spĂ©cialiste en palĂ©oradiologie ici entre deux techniciens, utilise une unitĂ© mobile de radiographie pour dĂ©couvrir les secrets cachĂ©s dans les bandelettes de lin du prĂȘtre momifiĂ© Ayput. C’est un prĂ©nom masculin mais la taille du bassin, sa forme ainsi que la rondeur du crĂąne suggĂšrent que la momie est peut-ĂȘtre une rĂ©serve plus de surprises pour les archĂ©ologues qui sauraient faire preuve de patience et d’attention. En se penchant sur d’anciens rapports de fouille, Hussein s’est rendu compte que le puits qui mĂšne Ă  l’atelier de momification est situĂ© Ă  moins d’un mĂštre du lieu oĂč les archĂ©ologues français et Ă©gyptiens ont cessĂ© de fouiller en 1899. La chambre funĂ©raire est dissimulĂ©e dans le sable qu’ils ont pelletĂ© Ă  la hĂąte. Il nous faudra peut-ĂȘtre revenir sur les lieux qui ont Ă©tĂ© explorĂ©s vers la fin des annĂ©es 1800 », dit Hussein. Peut-ĂȘtre mĂȘme qu’il faudra les fouiller de nouveau. » Cet article a initialement paru sur le site en langue anglaise. Cet article date de plus de six ans. Les restes relativement bien conservĂ©s d'un bateau de 18 mĂštres vieux de quelque ans ont Ă©tĂ© mis au jour dans la nĂ©cropole des pyramides d'Abousir prĂšs du Caire, a annoncĂ© lundi l'Ă©quipe d'archĂ©ologues tchĂšques Ă  l'origine de cette "dĂ©couverte remarquable". Article rĂ©digĂ© par franceinfo Culture avec AFP - France TĂ©lĂ©visions PubliĂ© le 01/02/2016 1620 Mis Ă  jour le 06/12/2016 0630 Temps de lecture 1 min. Cette embarcation, enterrĂ©e sur un lit de pierres Ă  proximitĂ© d'un mastaba -sĂ©pulture abritant traditionnellement des notables importants dans l'Egypte antique-, devait "appartenir au propriĂ©taire de la tombe, une personnalitĂ© au rang extraordinairement Ă©levĂ©", a commentĂ© dans un communiquĂ© du ministĂšre Ă©gyptien des AntiquitĂ©s le TchĂšque Miroslav Barta, qui dirige la mission. Abousir, Ă  une vingtaine de kilomĂštres au sud du Caire, est un site archĂ©ologique qui recĂšle notamment les pyramides de plusieurs pharaons mais d'une taille bien plus modeste que celles de Guizeh, dans la banlieue de la capitale sĂ©pulture "n'Ă©tant pas situĂ©e immĂ©diatement Ă  cĂŽtĂ© d'une pyramide royale, le propriĂ©taire du mastaba n'Ă©tait probablement pas un membre de la famille royale", a poursuivi le texte, Ă©voquant toutefois une "dĂ©couverte remarquable... qui va contribuer Ă  comprendre" les techniques de construction des bateaux dans l'Egypte antique et "leur place dans les rites funĂ©raires". "Car lĂ  oĂč il y a un bateau, il pourrait bien y en avoir beaucoup d'autres", s'est enthousiasmĂ© M. Barta, de l'Institut TchĂšque d'Egyptologie, qui a prĂ©dit de nouvelles excavations dans la zone. "MĂȘme si le bateau est situĂ© Ă  prĂšs de 12 mĂštres du mastaba ..., son orientation, sa taille et les poteries trouvĂ©es Ă  l'intĂ©rieur montrent qu'il y a un lien Ă©vident entre cette tombe et l'embarcation, les deux datant de la toute fin de la IIIe ou du dĂ©but de la IVe dynastie, soit 2550 avant JĂ©sus-Christ", a prĂ©cisĂ© le communiquĂ© du ministĂšre."Les planches de bois Ă©taient attachĂ©es les unes aux autres par des chevilles en bois qui sont toujours visibles dans leur position initiale", a expliquĂ© le ministĂšre des AntiquitĂ©s. "De maniĂšre extraordinaire, le sable du dĂ©sert qui le recouvrait a prĂ©servĂ© les matiĂšres vĂ©gĂ©tales dont Ă©taient recouverts les joints" et "certaines des cordes qui maintenaient la structure du bateau sont toujours en place", a-t-il prĂ©cisĂ©. Prolongez votre lecture autour de ce sujet tout l'univers Arts-Expos

sepulture pour notable de l egypte antique